samedi 14 janvier 2012

Savoir-Vivre: Manières de table


Manières de table

Le repas autour d’une table avec des convives est un temps où les qualités de savoir-vivre et de politesse de chaque individu sont largement testées. Les invités autour d’une table mangent, mais se parlent aussi, s’observent, s’écoutent sur une période qui peut souvent durer plus de deux heures.
C’est généralement l’hôtesse qui place ses invités à table, il faut donc attendre qu’elle vous indique votre place. En général, si vous êtes un homme, vous serez placé entre deux femmes, car la maîtresse de maison souhaite alterner les convives de chaque sexe. Les hommes normalement ont le devoir de s’occuper de leur voisine et de faire la conversation avec elle.

La serviette que l’on a trouvée placée sur son assiette sera posée à moitié dépliée sur ses genoux (pas autour du cou !), et les mains (pas les coudes !) seront placées sur la table, de chaque côté des couverts. On trouvera les couteaux et la cuillère pour le potage à droite de l’assiette, alors que les fourchettes seront à gauche. Il est fréquent que trois verres soient placés devant l’assiette : le plus grand sera pour l’eau, le plus petit pour le vin blanc, et le moyen pour le vin rouge. Le pain est placé dans une corbeille non loin de soi, mais l’usage interdit d’en prendre un morceau pour “grignoter” avant le premier plat (on peut le faire au restaurant cependant). On ne boit pas avant d’avoir mangé et c’est l’hôtesse qui invitera les convives à commencer.

Les invités se servent généralement eux-mêmes en se passant les plats. Les hommes se chargent de servir les femmes, ainsi que de remplir leur verre. Si vous jugez que vous avez assez bu, laissez votre verre plein, on ne vous en reversera plus ! Lorsque vous buvez, n’oubliez pas de vous essuyer les lèvres avant, afin de garder votre verre transparent durant tout le repas. Essuyez vos lèvres aussi après, si possible en tenant votre serviette à deux mains. Si l’hôtesse vous demande de vous resservir, il est poli de refuser une première fois, pour ne pas avoir l’air gourmand. Attendez qu’elle vous demande une nouvelle fois pour accepter. En revanche, si vous n’aimez pas un plat, essayez d’en manger un peu quand même, pour ne pas offenser vos hôtes. Enfin, l’usage de laisser un petit quelque chose dans l’assiette pour montrer qu’on n’est pas gourmand ou qu’on a assez mangé n’est en fait guère pratiqué : les convives ont plutôt le sentiment que ne pas finir son assiette risque d’offenser les hôtes et surtout votre hôtesse, qui a passé du temps à choisir et à préparer les plats.

Les règles de savoir vivre à table sont nombreuses, ce sont avant tout des interdits : on ne parle pas la bouche pleine, on ferme la bouche en mangeant; on ne souffle pas sur le potage pour le refroidir; on ne coupe pas sa salade avec son couteau, ni son omelette, ni les pâtes. Les pommes de terre ne doivent pas être écrasées, mais séparées avec le côté de la fourchette. On “pousse” les morceaux de viande, les légumes sur sa fourchette avec un morceau de pain, pas avec le couteau. On ne prend jamais une arête de poisson avec ses doigts, on la dépose du bout des lèvres sur la fourchette et on la place sur le côté de l’assiette. Il est normalement impoli de “saucer” son assiette avec du pain, mais la tentation est grande et tout le monde le fait discrètement ! On n’écrase pas le fromage sur son pain, on le mange par morceaux. On ne coupe pas le pain avec son couteau, on le “rompt” avec ses mains. Lorsqu’on a fini,, on pose ses couverts (fourchette et couteau) sur son assiette, sans les croiser, la pointe de la fourchette tournée vers le bas. L’usage du cure-dents est rigoureusement interdit, on n’en trouve pas sur la table. Lorsque l’hôtesse en donne le signal, les invités peuvent quitter la table, ils déposent alors leur serviette (non pliée) près de leur assiette en se levant

Savoir-Vivre: Notions de Salutations


 Salutations

Lorsqu’on entre dans une pièce où il y a des gens, il est d’usage de dire bonjour en arrivant, mais il n’est pas obligatoire de serrer toutes les mains. Les Français sont plutôt formels dans la rencontre, ils associent en général un geste – serrer la main – avec la parole. S’il s’agit d’une première rencontre, on pourra dire : “Enchanté”, “Ravi de vous rencontrer”, ou tout simplement annoncer son nom : “Bonjour, Marcel Duchamp”. Si l’on est présenté à quelqu’un, il est préférable d’attendre que cette personne vous tende la main pour la saluer.

La poignée de main (i.e., l’acte de serrer la main à quelqu’un) est bien plus habituelle en France que dans les pays anglo-saxons par exemple. En arrivant au bureau le matin, il est fréquent que les Français lancent un “Bonjour, ça va?” ou un “Salut Philippe!” en se serrant la main, même s’ils se sont vus la veille. Le soir, en se quittant, il n’est pas rare qu’on se serre la main une nouvelle fois. Serrer la main est ainsi un rituel d’ouverture et de fermeture de la rencontre, l’acte de se saluer et de se quitter est fortement marqué par ce geste. Une rencontre de moins de cinq minutes – dans la rue par exemple – peut être introduite par une poignée de main et terminée par une autre.

Les salutations entre hommes et femmes sont augmentées d’un geste supplémentaire : faire la bise. Il n’est pas anormal de serrer la main à une femme, mais un homme embrassera plutôt sur chaque joue une femme qu’il connaît : parent, collègue ou amie. Assez souvent, lorsque la relation n’est pas encore très développée, un homme prendra la main d’une femme pour la saluer mais se penchera en même temps vers elle pour l’embrasser, signifiant ainsi que la relation est plus proche, plus amicale. Tout comme la poignée de main, faire la bise marque fortement le temps de la rencontre, et là aussi, il n’est pas inhabituel qu’une brève conversation dans la rue soit introduite par des bises et finie par d’autres bises en se quittant, même après quelques minutes.

Ce rituel de la bise provoque quelquefois des hésitations, ou même de l'embarras : la norme est en effet de faire deux bises, un sur chaque joue, mais une personne qui a l'habitude d'en faire trois ou quatre risque d'embrasser dans le vide si l’autre s’est déjà retirée. Lorsque c’est le cas, on rit puis on peut recommencer par jeu, en précisant quelque chose comme “Moi, j’en fais quatre !” Les femmes se font plus souvent la bise entre elles que les hommes le font entre eux, sauf s’il s’agit d’un proche parent (père, frère, cousin etc.) Quand les hommes s’embrassent, on parle plutôt d’une “accolade”, ce qui consiste à mettre ses bras autour du cou, tout en donnant quelques tapes dans le dos.

Dans le cas où deux personnes se rencontrent d’une certaine distance (de chaque côté de la rue par exemple), un certain code est aussi en usage : si l’on connaît bien cette personne, et si la relation avec elle est plutôt informelle, un petit signe discret de la main est d’usage. En revanche, si l’on croise dans la rue une personne avec laquelle on entretient une relation formelle (professeur, supérieur hiérarchique etc.) ou qu’on connaît assez peu, il est préférable de marquer cette rencontre par un hochement de la tête seulement. Si cette personne est accompagnée, il est recommandé de s’abstenir de faire un signe, sauf si cette personne fait elle-même un geste. Enfin, si la personne ne vous a pas remarqué (ou fait semblant de ne pas vous remarquer), là encore, il est préférable de ne faire aucun signe.

Comment prévenir le stress ?




Anticiper son stress
« On a qu’une vie à vivre » paraît-il, c’est probablement la raison pour laquelle les gens y tiennent tant, mais sans se soucier un seul instant, pour la plupart, de la qualité de celle-ci.

Évidemment, chacun a ses écarts de conduite ou ses faiblesses particulières qui favorisent l’émergence de la douleur, de malaises ou de maladies. Il faut s’en conscientiser et cesser de jouer quotidiennement avec sa santé, pour mieux vivre et pour plus longtemps.

Suite aux idées, disciplines et médecines antistress ci-haut mentionnées, s’ajoutent ces dernières suggestions positives car « Mieux vaut tard que jamais ».

S’accepter:
Savoir s'accepter est une première bouffée de santé, de sérénité et de vitalité, pour faire sa place au soleil chez-soi et à l’extérieur. Il est essentiel de discerner ses qualités et ses défauts pour découvrir qui l’on est et surtout l’être sans restriction. Savoir ce que l’on vaut n’est pas se gaver de soi au détriment des autres, si on le fait dans le respect et sans prendre le haut du pavé. Il est possible de se maintenir au palier de ses possibilités, c’est un guide vers l’accomplissement de soi, des valeurs riches et profondes de son existence. S’affirmer c’est vivre ce que l’on aime et ce que l’on ressent c’est-à-dire « Bien faire et laisser dire ».

Exprimer ses émotions et sentiments:Le dialogue a toujours une place privilégiée que ce soit à la maison ou au travail, par le choix des mots et d’une oreille attentive. Il est possible de bien faire comprendre ses déceptions, ses idées, ses rêves ou tracas, car la cause de son bien-être en vaut la peine. En cas de gêne ou de pudeur, écrire est une autre façon de s’expliquer sans être interrompu et sans perdre la face. Bien des malentendus entre amis, conjoints, collègues et patrons, se règlent ainsi pour le plus grand bien de tous. On gagne à confier ce qui doit être partagé, c’est une excellente prévention car « De la discussion jaillit la lumière ».

Faire confiance:Faire confiance,c’est avant tout avoir confiance en soi-même. Au nom de l’amour ou de l’amitié, la confiance est primordiale pour la survie du couple et des amis, elle s’établit naturellement au gré des plus ardentes convictions. Concernant les autres relations, la confiance dépend des circonstances et des personnes, un juste dosage est à considérer car on est à risque d’une mauvaise compréhension et interprétation. Il est possible de s’affirmer et d’exprimer ses droits face aux autres, cependant il faut toujours demeurer extrêmement vigilant dans son accueil et son écoute. Se souvenir de cette prévention inhérente « Les murs ont des oreilles ».

Prendre des décisions:Voilà qui n’est pas facile, un jour on trouve une réponse et le lendemain on s’interroge de nouveau, pourtant l’histoire de l’humanité est basée sur ce principe. Il est possible de savoir ce que l’on veut, sur le plan affectif, familial, personnel ou professionnel, par une analyse profonde de son vécu et de son présent. C’est bien souvent en faisant un pas en arrière qu’on en fait un en avant. Savoir ce que l’on veut c’est tout simplement s’organiser pour atteindre l’accessible, parfois renoncer à des avantages ou valeurs pour en gagner de nouvelles, lors d’un changement de carrière par exemple. Agir est une géniale prévention car « Qui ne risque rien n’a rien ».

Trouver des solutions:Trouver des solutions est le plus beau sursaut du changement, du discernement, de l’évolution et de l’intelligence. Pour y arriver, il faut une pensée positive qui génère une énergie positive, laquelle diminue la crainte de ce qui vient et pousse vers l’engagement potentiel, même à relever des défis s’il le faut. Sur tous les pans de sa vie personnelle, il est possible de dépister, de choisir et de plonger dans des interventions claires, nettes et précises, pour augmenter sa qualité de vie. Partant du principe que toute solution est en soi, tout humain est en mesure d’en trouver une à son problème. Réagir est une formidable prévention car « À cœur vaillant rien d’impossible».

Viser au-delà des apparences:On doit faire la part des choses de ce que l’on voit, de ce que l’on entend, de ce que l’on vit par rapport à ceux que l’on côtoie. Infailliblement, on sait tous quelque chose sur quelqu’un, mais que ce soit vrai ou faux on n’a pas à s’en convaincre pour socialiser. Il est possible d’être jugé ou de juger, non par le biais des commérages malsains mais sur les valeurs certaines. C’est en favorisant «  l’être au paraître » qu’on peut aller au-delà des apparences et vivre dans l’authenticité. A défaut d’éviter les ragots, les atténuer et les contenir est une merveilleuse prévention car « Les apparences sont souvent trompeuses ».

De nos jours, avec tout ce bagage qui est à portée de main pour surmonter le stress, on peut se passer des paradis artificiels (alcool, drogue ou autre tranquillisant) qui n’apportent qu’un bienfait temporaire et plusieurs effets secondaires. Leurs illusions éloignent de la pure et simple réalité alors qu’il faut rester conscient des difficultés stressantes de la vie quotidienne. De plus, alors qu’ils abîment le corps comment peuvent-ils servir l’esprit pour chercher et trouver des solutions ? Prendre la vie de plein front est certainement la meilleure et seule façon d’être soi-même et de mieux vivre en santé car « L’habitude est une seconde nature »

Le stress post-traumatique:




Stess post-traumatiqueComme son nom l’indique, ce stress fait suite à des situations bouleversantes psychologiquement, il est à l’étude depuis le début du siècle.

A ce moment, on l’a reconnu sous plusieurs vocables : en 1889  « la névrose traumatique » concernant les accidentés du chemin de fer, à la même époque « la névrose hystérique » en rapport avec les patientes de la Salpetrière, « le choc des tranchées » impliquant les soldats des deux premières guerres mondiales, vers 1974 « le rap trauma syndrome » jusque là sous-estimé dans les cas d’agressions sexuelles.

Dans les années 80, des groupes féministes et pacifistes américains, persuadés des graves séquelles des personnes ci-haut mentionnées, ont parrainé financièrement l’investigation dans ce domaine, et en 1992 l’Organisation Mondiale de la Santé le classe et le précise, sous la description suivante  SSPT (syndrome de stress post-traumatique).

Le syndrome de stress post-traumatique ne se distingue pas de la détresse normale, mais plutôt par l'ajout ultime d'une progression. À noter cependant, que certains facteurs font que certains individus sont plus aptes d’en être atteints.
Les critères de stress post-traumatique. L’individu doit être lui-même la victime ou le témoin d’un événement survenu et suivi d’un malaise/ déclencheur tels un désarroi critique, une horreur intense, une stupeur maximale.

Par exemple lors d’un accident grave avec blessés ou non, d’une agression personnelle ou physique, d’une attaque militaire ou terroriste, d’un bombardement stratégique ou tactique, d’un deuil imprévisible, d’un enlèvement avec ou sans torture, d’un diagnostic de maladie éventuellement terminale, d’une incarcération dans un camp de refugiés ou de prisonniers, d’une catastrophe naturelle (incendie/inondation/ tremblement de terre), d’un vol à main armée avec ou sans prise d’otage, d’un viol physique avec menace de mort réelle pour soi-même ou celle des autres, une violence conjugale ou familiale etc.
"L’individu doit être lui-même la victime ou le témoin d’un événement survenu et suivi d’un malaise déclencheur (...)"
L’épisode traumatique vécu doit se manifester de manière permanente, d’une ou de plusieurs façons : une action/réaction soudaine comme si celui-ci se reproduisait,  une détresse physiologique ou psychologique à des stimulations semblables au traumatisme vécu ou à son symbole lui-même, des rêves à répétition de l’événement traumatique, des souvenirs harcelants et aussi répétitifs comme des images, des réflexions, des sensations etc.

Suite à son traumatisme, l’individu combat ou lutte désormais contre tous les souvenirs qui lui sont reliés: à savoir le contournement ou détachement net des activités, des conversations, des endroits, des gens, des participations, des pensées, des sentiments amicaux ou sentimentaux, etc., Sa vision personnelle du monde extérieur devient implacablement une aire de contrariété, d’insécurité et de prédestination post-traumatique

Selon la persistance de quelques uns de ces symptômes, la situation s’aggrave et traduit une hyperactivité neurovégétative : accès de colère ou d’irritabilité, concentration pénible, difficulté de sommeil ou interruption de celui-ci, hyper vigilance en tout et partout, sursaut subit et violent, etc.

La plupart de ces symptômes commencent dans les quelques semaines suivant les circonstances turbulentes et ne durent que quelque mois,  par contre si elles perdurent et perturbent davantage, le syndrome de stress post-traumatique se transforme en un dysfonctionnement émotionnel, familial, professionnel, social et devenir chronique.

Selon les individus, le stress post-traumatique peut être plus ou moins grave mais soigné, s’il est diagnostiqué avec exactitude et à temps, par des professionnels de la santé mentale, par contre, l’attente des soins au-delà des symptômes intolérables retarde la guérison.

On a recours à la psychothérapie analytique ou comportementale, quelque soit la thérapie le soutien des proches demeure toujours important

Comment gérer son stress ?




Gérer son stress
On est à même de constater que plusieurs facteurs de stress sont incontournables, si pour les chasser de votre quotidien les tentatives sont vaines, voici un échantillon d’idées antistress à la portée de tous et de chacun.

En dehors des heures de travail, quel qu’il soit, il faut cultiver ses loisirs pour surtout décompresser, dévier son centre d’intérêt et peut-être découvrir une passion.

L’art des caresses ou massages pour l’abandon inévitable, le cinéma/ la télé pour un moment apaisant, le jardinage pour un coin végétal de ressourcement, le jeu vidéo très allégé pour le divertissement, la lecture pour l’évasion ou le rêve qu’elle communique.

Les idées antistress sont encore nombreuses : la méditation pour la lumière qu’elle ravive dans tout l’être, la promenade pour la respiration exploitée et profonde, la rencontre amicale ou sportive pour la communication, le rire pour l’expression du partage ou du plaisir etc.

Nous sommes devenus trop rigides dans nos sociétés modernes, alors allez voir les comiques, programmez des séances (ciné ou télé) de comédie et des dîners avec des rigolos. Le zen en riant…c’est peut-être la fin de l’ère du stress ?

Les médecines douces:
Elles présentent des solutions non confessionnelles, pour calmer les effets quotidiens du stress, sachant que sa clientèle cherche une réponse adéquate pour l’affronter, pour éviter les récidives et se garantir une meilleure qualité de vie. Ces médecines s’appuient spécifiquement sur des bases naturelles, sans recours ou très peu aux produits pharmaceutiques ni à la chirurgie, elles servent souvent de solution complémentaire ou de rechange. Les européens, dans une majorité de 70%, ont pour elles un emballement de plus en plus croissant. Voici un éventail de méthodes pour apaiser le corps et l’esprit des plus crispéspassant par le corps pour soigner l’esprit.

L’acupuncture : 
Discipline médicale et traditionnelle d’origine chinoise, l'acupuncture consiste à piquer certains points du corps, situés le long des méridiens qui parcourent celui-ci, avec des aiguilles spéciales. Elle s’inscrit de manière statistiquement significative comme antistress,
 en diminuant l’activité du système nerveux et de ses niveaux plasmatiques (l’adrénaline, la corticostérone, la dopamine, la noradrénaline), la pression sanguine et le rythme cardiaque. Autrement dit, l’acupuncture disperse les blocages, stabilise de nouveau le Yin et le Yang et vivifie l’énergie physiologique et psychologique.

L’aromathérapie : 
Ses huiles essentielles, obtenues par la distillation de plantes, ont des propriétés antistress efficaces. Ses inhalations s’adressent au cerveau pour libérer le psychisme tandis que les stimulations dermatologiques, se répandent par le sang dans les tissus et divers organes. Les huiles aromatiques et les pommades végétales interviennent sur le système nerveux, elles engendrent une attitude mentale positive et des principes actifs. On peut même s’en servir comme déodorant, parfum, huile à bain et davantage. La lavande, par exemple, invite à la relaxation et par conséquence au sommeil, quelques gouttes sur l’oreiller valent mieux qu’un placebo.

Le Feng Shui: 
Le Feng Shui 
est l’art de vivre en harmonie dans son espace personnel : la décoration et la disposition sont favorables pour la circulation énergétique et la qualité de vie. Plus précisément, les couleurs murales et les formes mobilières changent positivement les actions/réactions, les humeurs et les sentiments. Pour chasser le stress d’une journée tourbillonnante et turbulente, il fait bon rentrer dans une zone calme et intime, s’éloigner des énergies extérieures et trop souvent négatives. Des accessoires Feng Shui tels des bougies ou encens, des figurines ou fontaines, des minéraux ou  plantes etc., valident le passeport pour la santé.

L’homéopathie:
L'homéothérapie clame comme antistress naturel une alimentation équilibrée et une variation des menus, un exercice quotidien à l’extérieur, un rythme de sommeil suffisant. Dans le cas échant, puisque le stress gruge particulièrement deux minéraux essentiels de l’organisme, elle conseille des granules homéopathiques (lithium et magnésium) lesquels sont des alliés antistress sans aucun effet secondaire. Le lithium (moins connu) est un relaxant des troubles de l’humeur comme l’irritabilité et l’hyperémotivité, donc pacifie les rapports interpersonnels. Pour sa part, le magnésium, amplifie la lutte au stress et à ses manifestations centrales (insomnie ou respiration bloquée) et périphériques (picotements ou tremblements).

L’hydrothérapie:
L'hydrothérapie est l’ensemble des traitements mettant à profit les propriétés de l’eau pour contrer le stress, notamment au cours de la kinésithérapie ou de la thalassothérapie. Elle a le secret d’activer la circulation, d’améliorer la qualité du sommeil, de détendre la masse musculaire, de dégager les tensions, de libérer les toxines corporelles, de réveiller les défenses naturelles. Sans hésitation on conseille de s’offrir un bain/détente à l’eau de mer, un bain de vapeur sèche ou sauna, un hydro-massage (cascades, fontaines, jets, tourbillons), un plongeon dans la piscine suivi de quelques brasses de natation, un sport nautique collectif ou individuel.

La malaxothérapie:
La malaxothérapie est une thérapie par la main qui traite les symptômes du stress, par la manipulation d’une boule en métal ou autre petit objet bourré de graines ou de mousse. Le mouvement malaxeur et répétitif ranime les terminaisons nerveuses et nombreuses de la paume de la main, principalement le 8ième point méridien « le maître du cœur » situé en plein centre de la paume. Le résultat est immédiat : il domine les doigts crispés, les battements du cœur, la suffocation thoracique, la transpiration nerveuse. Le principe de cet antistress est simplet mais efficace, pendant que l’on focalise sur le geste… le stress disparaît.  N.B. Très utile en milieu de travail pour retrouver l’énergie requise et subite.

La musicothérapie: 
La musicothérapie est une psychothérapie basée sur l’écoute ou la pratique musicale, dans un but de pure relaxation. Elle a des retombées antistress physiologiques et psychologiques : tous les genres musicaux confondus (classique, jazz, moderne etc.), toutes ses variantes exploitées (fréquence, mélodie, rythme etc.)  Cette thérapie s’adresse à tout l’être, elle joue particulièrement sur le rythme cardio-vasculaire, musculaire, respiratoire et végétatif. Le chant est aussi une activité automatique, que souvent l’on adopte sous la douche ou dans la voiture, inconsciemment il fait reprendre contact avec le corps et gère le stress.

La massothérapie: Par une panoplie de massages et de techniques, elle réduit le stress en écartant les contractions articulaires et vasculaires, elle ranime les énergies en totalité ou presque. Sur chaise ou sur table, avec la même douceur ou fermeté, les manœuvres manuelles se font sur tous les tissus vivants avec des huiles thérapeutiques ou non. Selon le choix du massage « Japonais, Shiatsu ou Suédois », on adapte le mouvement continu et glissé, enveloppant et fluide, effleurant ou pétrissant. Le massage avec pierres chaudes rajoute un effet spirituel en apportant une paix intérieure.

La naturopathie:La naturothérapie ou « voie de la nature » est un ensemble de méthodes de soins, faisant aussi partie des médecines douces et visant à renforcer les défenses de l’organisme, par des moyens naturels comme son nom l’indique. Sa philosophie stimule l’individu à une meilleure santé possible, en lui apprenant à gérer correctement ses habitudes de vie et à se responsabiliser face à elle. Une alimentation/vitalité, une attitude mentale positive, une détente/relaxation, un sommeil régulier entre autres, voilà des formules antichoc, antistress et excellentes pour combattre et gagner les batailles intérieures que la société moderne impose.

La phytothérapie:
La phythothérapie est un traitement par certaines plantes dont les extraits s’administrent par des gélules ou des infusions. Leur fabrication est courante et leur réputation efficace, elles rappellent les remèdes de grand-mère que le progrès remodifie, par des doses calculées ou concentrées. L’aubépine, abondante en minéraux et vitamines, est reconnue comme un produit/étoile pour régulariser le stress, la passiflore avec ses effets relaxants assure le sommeil, quant au romarin il excelle pour contrer les excès de fatigue. N.B. À notre insu, les plantes sont d’ailleurs souvent associées aux produits pharmaceutiques.

Le Qi gong ou Chi-kung:
Le Qi gong ou «chemin vers l’intérieur» est une pratique de gestes doux et lents, similaires à une danse au ralenti. On focalise sur l’intention du mouvement, sur la concentration de l’énergie corporelle, sur le tempo de la respiration afin d’atteindre une profondeur maximale. Ces exercices antistress, réalisés dans le silence, apportent un bien-être immédiat et total, ils certifient foncièrement le calme, l’équilibre émotionnel, le positivisme, le sommeil et la sérénité. C’est un art pour devenir Zen, progresser quotidiennement et le rester, explicitement ’il est synonyme du « lâcher-prise », sans pour autant baisser les bras mais faire confiance à l’ordre des choses.

La réflexologie:
La réflexologie est une thérapie manuelle et antistress, provenant des connaissances et expériences communes des indiens, des tibétains et de chercheurs occidentaux. C’est une méthode d’accu-pression au niveau des pieds, des zones/réflexes représentant l’ensemble des parties du corps. Pour libérer le stress entre autre: un massage ou pression spécifique avec la pulpe des doigts sur certaines zones plantaires, garantit une meilleure circulation sanguine et lymphatique, une concentration améliorée, une détente physique et mentale, une humeur optimiste, un sommeil réparateur etc. Suffit seulement de dénuder les pieds pour retrouver son équilibre.

La sophrologie:
La sophrologie (relaxation dynamique) est l’ensemble de pratiques fondées sur des techniques physiologiques et psychologiques, utilisées notamment comme antistress, plus précisément, c’est une démarche
 de développement et d’étude de la conscience. Elle est une solution autonome car elle oblige l’individu, par des prises de conscience, à prendre en main les aspects positifs de sa vie, ses capacités corporelles, ses émotions, son potentiel intérieur, sa respiration etc. C’est ainsi un entraînement comportemental et corporel par l’emploi de mouvements simples ou de postures naturelles, conduisant aux facultés de visualisation créatrice et arriver à une harmonisation active et personnalisée.

Le Tai-chi:Le Tai-chi (méditation en mouvement) est une gymnastique chinoise/antistress, caractérisée par un lent et souple enchaînement de mouvements, selon des schémas précis. Il est l’art martial le plus usité par le monde moderne, plusieurs adeptes le jugent comme étant la méthode la plus relaxante. Une respiration lente et profonde est au cœur de ses exercices qui comptent parfois jusqu’à cent (100) différents mouvements. Le tai-chi-chuan s’adresse aux jeunes comme aux aînés car il n’y a pas d’âge pour prendre conscience de son corps. Pratiqué à l’extérieur, il double d’efficacité par l’air, la lumière et la nature.

Le  yoga:Le yogaest une discipline corporelle et spirituelle d’origine indienne. Issu d’un système philosophique, il vise à libérer l’esprit des contraintes du corps. Il se distingue par ses nombreuses postures (asanas) dont la plus usitée est celle du lotus, elles facilitent la concentration, le détachement intérieur, la relaxation et la respiration. Au même titre que l’acupuncture et le tai-chi-chuan il améliore la circulation de l’énergie, ’il est certes la technique la plus recommandée pour mieux gérer et prévenir le stress. Son principe repose sur l’aptitude, la liberté et la mobilisation personnelles, de plus, il révèle à sa clientèle les secrets d’une véritable autonomie.

Sachant que le stress envahissant provient de soi-même, c’est sa façon de vivre qu’il faut changer, cela n’arrive pas du jour au lendemain mais un jour à la fois. De l’air dans les poumons et sourire aux lèvres : travailler au gré de ses capacités et de ses compétences, en vertu de la qualité et non de la quantité.

La vie est déjà courte il faut en étirer la chaîne : enterrer hier puisque demain n’est pas encore né, le soir s’accorder des heures de détente essentielle.

Finalement, choisir un moyen d’aide parmi les nominés, en calculer les exigences et y rester fidèle, puisque chaque pas en avant en est un de plus vers la sérénité

Pourquoi, est-ce important de bien dormir ?



Pourquoi, est-ce important de bien dormir ?
Selon une enquête de l’Usem, le sommeil serait la seconde préoccupation des étudiants en ce qui concerne la santé. Pourquoi est-il important de bien dormir ? Studyrama.com fait le point pour vous. 
Déjà pour réussir vos études ! Et oui, cela peut vous sembler évident, mais un manque de sommeil entraîne des troubles de la concentration et donc de l’apprentissage en cours. Vous rencontrerez des difficultés à prendre des notes, à écouter le professeur. Sans oublier que vous serez facilement distrait. Enfin est-il encore utile de vous rappeler que vous assimilez au cours de votre sommeil une partie de ce que vous apprenez la journée. Et un mauvais sommeil vous en empêche ! 

Outre le problème de réactivité en amphi, bien dormir évite le surpoids ! On ne le dira jamais assez, mais un sommeil en conséquence est un gage pour garder la ligne ! Être en forme après une bonne nuit évite de passer sa journée à grignoter. Il y a donc directement un lien entre la qualité du sommeil et la qualité du régime alimentaire. En tout cas, sachez que le sommeil occupe une grande partie de nos existences, puisque nous dormons pendant un tiers de notre vie. Retenez que le sommeil est déterminant et ce à plusieurs titres : pour la croissance, le repos de notre système cardio-vasculaire ou encore le développement cérébral. Ce n’est donc pas du temps de gaspiller que de dormir comme l’on pense bien trop souvent lorsque l’on est étudiant. Au contraire, un bon sommeil, c’est la garantie de profiter pleinement de sa vie éveillée au quotidien. Il va falloir faire quelques sacrifices… mais c’est pour votre bien-être physique et mental. Allez, on se brosse les dents et au lit !

Zoophilie(Raports sexuels entre humains et animaux:les causes) : une réalité cachée ?



Si les rapports sexuels entre êtres humains et animaux ont été très peu étudiés jusqu'ici, sont-ils pour autant inexistants ? Pourquoi est-ce qu'un homme, une femme s'engage dans une sexualité avec un animal ?
Le petit Robert définit la zoophilie comme l'amour ou l'attachement excessif pour les animaux. Le terme ancien de bestialité est, lui, défini dans ce même dictionnaire comme un comportement sexuel déviant qui consiste à avoir des relations avec des animaux. Amour des animaux ? Comportement déviant ? Ces définitions apportent plus de questions que de réponses.

Fréquence de la zoophilie ?

La zoophilieNous ne connaissons pas la fréquence de la zoophilie dans notre société. L'enquête sur la sexualité des Français réalisée en 1993 ne comportait aucune question sur ce sujet. Seule l'enquête de Kinsey faite en 1948 et 1954 aux Etats-Unis nous permet de disposer de quelques chiffres. A cette époque, 8 % d'hommes et 4 % des femmes rapportaient avoir eu quelque expérience sexuelle avec des animaux. Pour les hommes, le chiffre s'élève même à 17 % parmi les garçons élevés à la ferme. Kinsey relate que dans les campagnes ces pratiques étaient socialement relativement bien admises. Par contre, dans les villes, où une telle activité  était jugée dégradante, la fréquence était moindre.
Timides mais recherchant les contacts. Quelle est la personnalité des zoophiles ? Des chercheurs ont voulu en savoir un peu plus sur ces adeptes d'une sexualité hors normes. Afin d'étudier leur personnalité et leurs motivations, une allemande, Andrea Beetz (1), a recueilli des informations à travers une centaine de questionnaires adressés à des internautes zoophiles, complétés d'interviews. Chose peu étonnante, elle a trouvé dans cette population de zoophiles plus de personnes timides et inhibées que dans la population générale. Moins conventionnels, remettant plus facilement en question les normes, la plupart ne sont pas à l'aise en société et ont du mal à exprimer leurs sentiments. Ils seraient de même moins motivés par le "pouvoir", la recherche du prestige ou d'un statut social. Jugés sympathiques par leur entourage, ils accordent beaucoup d'importance aux relations avec les autres. Ils ont un besoin important de passer du temps en compagnie, que ce soit avec des hommes ou avec animaux. Peut-on parler d'une orientation sexuelle zoophile ?

On aurait pu penser que la zoophilie concernait des personnes n'arrivant pas à avoir des relations sexuelles avec des humains, le choix du partenaire sexuel animal se faisant "faute de mieux". En fait dans son étude, seules 12 % des personnes sont dans ce cas. Pour les autres, c'est un choix délibéré, ils se sentent attirés émotionnellement et sexuellement par leur animal.

Comment parler sexo avec les ados ?


Parler de tout avec ses enfants, facile à dire ! Mais comment traiter des questions sexuelles sans brusquerie, en respectant l'intimité de chacun ? Comment libérer les ados de leurs angoisses ou de leurs idées reçues ?
D'amour et de sexe, notre société en parle largement ! Le sujet n'est plus tabou, mais il reste difficile pour un ado de se préparer à la vie sexuelle. Ses parents peuvent-ils l'aider ?

Sexualité et prévention

Chez les ados, une grossesse non désirée, c'est fréquent et, le plus souvent, dramatique. Lorsqu'on a moins de 18 ans, plus d'une grossesse sur deux se solde par une IVG : 6 000 mineures décident ainsi chaque année d'avorter. "Pour une jeune fille, dire "je suis enceinte" c'est en fait dire "j'ai couché". Lorsque les relations amoureuses n'ont jamais été abordées à la maison, c'est une honte parfois insurmontable", explique Martine Leroy, du Planning familial de Nantes.
Parler sexualité avec les adosAux grossesses non désirées viennent s'ajouter les maladies sexuellement transmissibles (notamment l'hépatite et le sida). Et là encore, c'est toujours grave.
Face à ces risques, les parents n'ont pas le droit de faire l'impasse sur le sujet de la sexualité.
De nombreuses études ont été réalisées sur l'impact des programmes d'éducation sexuelle. Pas de surprise, la plupart d'entre elles montrent que les ados informés fréquentent plus volontiers les centres de planning familial et sont de plus grands "consommateurs" de pilule et de préservatifs.
Mais quand l'information se résume à la prévention des maladies ou à l'étude de la reproduction, les ados en tiennent peu compte : à l'âge où l'on croit que “ça n'arrive qu'aux autres”, d'autres questions sont pour eux bien plus brûlantes : me trouve-t-il (elle) à son goût, comment se comporter au lit, mon pénis est-il assez long, vais-je avoir mal, etc…

Choisir le bon interlocuteur

Lorsqu'ils sont déroutés par ces questions ou l'attitude de leur enfant, les parents peuvent lui proposer un rendez-vous avec un médecin généraliste ou un(e) gynécologue qui sera à même de conseiller l'adolescent. Pour le Professeur Israël Nisand, responsable du service de gynécologie obstétrique au CHU de Strasbourg, le rôle des parents, c'est de transmettre une "morale" ; mais pas question de leur laisser l'occasion de se mêler de la sexualité de leurs enfants : celle-ci doit rester confidentielle et la propriété personnelle de chacun.
Il préfère la parole d'un tiers, pour aborder avec tolérance et ouverture d'esprit le sujet. Ne voulant pas non plus laisser ce rôle à l'institution scolaire, il a organisé depuis 1992 des interventions en collège auprès d'élèves de quatrième ou troisième, suivies, si nécessaire, de consultations individuelles gratuites dans les centres info-ados. Il a également créé sur le net un site info-ados.

Le plaisir, ça ne se raconte pas

Le mythe du Prince Charmant, entretenu par les récits de la vie des stars, par les romans ou les films, déforme la vision que les ados ont de l'amour et de la sexualité ; mieux vaut leur donner d'autres pistes de réflexion, expliquer que la sexualité ne se résume pas aux rapports sexuels, que chaque âge a sa propre sexualité, etc…

Conseils pour réussir à bien dormir la nuit (méthodes, produits, astuces).


A little girl sleeping with a toy-bear - Copyright Mykola Velychko© Mykola Velychko (Fotolia)

Que faire pour mieux dormir ?

Pour réparer votre sommeil, il vous faut tout d'abord trouver les causes de vos troubles.
Voici quelques causes qui peuvent mener à l'insomnie
  • La dépression nerveuse. 
  • La maladie (grippe).
  • Un cycle naturel non respecté.
  • Un manque de vitamines ou de fer.
  • Une fatigue trop importante.
  • Un manque d'exercice.
Il faut savoir que souvent pour dormir bien, il faut bien souvent changer de mode de vie.

Remèdes et astuces pour dormir rapidement

Comment retrouver un bon équilibre pour bien dormir
- Ecouter son sommeil : lorsque vous sentez les premiers signes de fatigue, tels qu'un bâillement, les yeux qui picotent, une sensation de lassitude.
Pensez également à entretenir un bon rythme de vie; c'est-à-dire habituez-vous à vous coucher à la même heure chaque nuit et obligez-vous à vous réveiller à une heure fixe. Bien entendu vous n'êtes pas obligé de vous coucher terriblement tôt.
- Bien manger : le dîner doit se faire le plus tôt dans la soirée, il vous faut au mieux deux heures vacantes entre le dîner et le coucher. Votre repas doit être le plus léger possible, tout en mangeant à votre faim. Optez alors pour des légumes, des féculents, du poisson. Cependant, vous devez proscrire les viandes rouges et l'alcool. Une bonne digestion permet toujours de mieux dormir.
- Une chambre qui doit vous être confortable : votre chambre doit impérativement être la plus paisible et calme possible.
Pensez donc à enlever les télévisions des chambres (il ne faut pas s'endormir avec la télévision allumée, cela empêche de bien "éteindre son cerveau"); débranchez les instruments qui pourraient émettre des bruits de fond (des enceintes par exemple ou alors, par exemple les ordinateurs, là il est préférable des les éteindre complètement).
Optez pour aménager votre chambre avec des teintes douces, il faut bien sûr éviter à tout prix les couleurs flash.
- détendez-vous : la journée bien souvent éprouvante doit au moment du coucher se faire oublier. Pour cela, commencez la méditation ou l'autohypnose.
Si aucune de ses techniques ne fonctionnent au bout d'au moins deux mois et demi, alors vous pouvez vous procurer des médicaments pour le sommeil, mais aussi des tisanes pour dormir au tilleul

Pourquoi une personne est-elle timide ?



Pour découvrir les origines de la timidité, il faut généralement revenir dans le passé de l'individu. Bien souvent, une personne timide a vécu une enfance surprotégée, trop couvée. Un enfant qui a souffert d'un manque d'affection, ou un autre qui a grandi dans univers conflictuel peuvent également être victimes de ce trouble, une fois adolescent ou adulte. En définitive, la timidité est la conséquence d'une enfance se déroulant dans un environnement plutôt instable. Ce sont des circonstances non propices à l'épanouissement de la personnalité.

Comment se manifeste la timidité ?


Les symptômes de la timidité sont pratiquement les mêmes d'un individu à un autre. Ce trouble peut néanmoins se manifester à des degrés différents. Une personne timide peut afficher un comportement craintif et ressentir une gêne plus ou moins importante lorsqu'elle se retrouve face à autrui. Le manque d'assurance et de confiance en soi compte également parmi les expressions de la timidité. Dans certains cas, il peut arriver qu'une personne se sentant quelque peu effarouchée affiche de l'agressivité. Quoi qu'il en soit, les manifestations peuvent être de deux natures : psychologique et physique. Un individu timide peut ressentir un malaise et avoir l'impression de ne plus être maître de lui-même. Par ailleurs, il peut rougir, bégayer ou encore transpirer.

Comment vaincre la timidité ?

Pour venir à bout de la timidité, il existe différents traitements. Le plus efficace est sans doute la thérapie du comportement. À travers plusieurs séances, le concerné et le praticien (généralement un psychologue) recherchent les causes possibles du trouble. Au fil des entretiens, le spécialiste décèle, avec l'aide de son patient bien sûr, les blessures du passé, les complexes ou encore les frustrations qui seraient à l'origine de la timidité. On ne manquera pas de noter qu'il n'existe pas de traitements médicamenteux qui permettent de soigner ce trouble.

Quelle bonne attitude adopter face à la timidité ?

Une personne timide ne doit surtout pas croire que son tempérament est un frein à l'épanouissement de sa personnalité. Il ne faut pas non plus avoir peur d'aller au-devant des autres. Même si cela peut sembler très dur, adopter cette attitude constitue un premier pas vers la confiance en soi. Le plus important est de ne pas donner trop d'importance à ce que pensent les autres et sur ce qu'ils pourraient dire. D'ailleurs, toute critique est édifiante et permet de s'améliorer !

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