vendredi 29 juin 2012

Faire l’amour 3 fois par semaine prolonge l’espérance de vie de 10 ans ?


Selon le docteur David Weeks, chercheur et psychologue au Royal Hospital d’Edimbourg en Ecosse, une étude scientifique réalisée sur 3 500 personnes montre que faire l’amour est bénéfique pour lasanté, réduisant les maladies cardiaques et le cancer.
Avant de vous donnez une petite liste des bienfaits de faire l’amour, faisons une rapide mise en contexte de l’étude. Durant les rencontres d’anciens élèves, on pouvait dénoter que certaines personnes semblaient avoir dix ans de moins que d’autres. C’est pourquoi le Dr David Weeks a mené une étude sur ce phénomène. afin d’en comprendre les raisons. Il a ainsi réuni 3 500 personnes âgées de 18 à 82 ans, qui avaient toutes comme signe de particularité de paraître plusjeunes que leur âge réel. Il leur soumit un questionnaire sur leurs habitudes de vie au quotidien et le résultat de cette analyse est celui que vous connaissez maintenant… Les câlins sous la couette, « sport » plus qu’atypique, apporteraient ainsi plusieurs bienfaits, en voici une liste d’exemples :
  • Faire l’amour réduit les risques cardiaques : En effet, les efforts physiques augmentent la circulation veineuse et musclent le cœur.
  •  Les rapports sexuels réduisent le cancer de la prostate : Une activité fréquente aurait plutôt un rôle protecteur vis-à-vis du cancer de la prostate.
  •  Les relations sexuelles réduisent le cancer du sein : Ceci est dû à une haute circulation de sang et la libération d’une hormone appelé l’ocytocine.
  • L’acte sexuel est un antidouleur naturel : Plus d’excuse de mal de tête, faire l’amour serais comparable à la prise de deux cachet d’aspirines.
  • Faire l’amour facilite l’endormissement : Les rapports sexuels libèrent de la morphine qui favorise la relaxation et donc l’endormissement.

Vos ongles révèlent l’état de votre santé…Surveillez les !


Savez vous que nos ongles sont le reflet de notre santé intérieure , Ils peuvent nous servir de miroir pour diagnostiquer et a identifier les principales maladies comme le diabète ou les maladies du cœur. C’est pourquoi les experts recommandent de consulter un médecin a chaque changement de couleur ou de forme.
Les ongles ont également l’avantage d’être facile à examiner, les médecins observent souvent tous changement pour être informé des signe avant coureur des maladies . Les taches brunes, le fines lignes blanches, jaunes, la séparation de la peau, desquamation, le manque de croissance , une éclaircie , des saignements, une inflammation des bords ou des bandes roses sont des signes caractéristiques que quelque chose ne va pas et annonce souvent l’apparition de la maladie ou du moins ses premiers signes.
L’exemple le plus courant , est qu’un décollement partiel sur les bords de l’ongle (onycholyse) peut être une signe d’une hypothyroïdie, de myélome, d’anémié, de cancer du poumon ou de diabète.
Par contre La chute de l’ongle , permet en revanche d’identifier les maladies fébriles,comme le diabète, un stress excessif, la pneumonie, le psoriasis ou une réaction indésirable aux médicaments. En tous cas c’est au dermatologue de confirmer le diagnostic .
Depuis que les pouvoirs publiques font de la publicité pour encourager les gens à consulter un dermatologue en cas de problème avec les ongles , Le nombre de consultations est passé de 60 à 70 pour cent . La majeure partie des patients sont des femmes vue que les ongles constituent un élément important de l’esthétique .

Comment détecter les signaux d’alarme
* Si les ongles adoptent une forme concave avec un soulèvement à l’extrême, cela peut indiquer un manque de fer dans l’organisme ou de l’anémie, une maladie cardiaque, l’hypothyroïdie ou un signe de malnutrition.
* Un saignement sous l’ongle, causé par la rupture des vaisseaux situés sur la longueur, peut indiquer un traumatisme internes dans 10 à 20% des cas.
* Une grande courbure de l’ongle accompagnée par une prolifération du tissu conjonctif et une l’enflure autour du doigt, ( connue sous le nom clubbing) , est associée à des maladies systémiques tel qu’un mauvais fonctionnement du poumon, du cœur, des reins et du foie .
* des lignes blanches sur les ongles peuvent indiquer un effet secondaire face à un
médicament, des troubles métaboliques, des tumeurs, des maladies infectieuses (tuberculose ou le paludisme) mais aussi des signes pour des maladies cardiovasculaires et des problèmes rénaux.
* Une bande à la fin est un signe de cirrhose ou d’insuffisance cardiaque congestive
* Quand les ongles deviennent jaunes, minces, avec une faible croissance (syndrome des ongles jaunes) c’est souvent des signaux pour l’asthme, la tuberculose ou la bronchite chronique.
* une tache noire sur l’ongle est malheureusement souvent l’un des pire signaux . en effet il est associé généralement à un mélanome malin de l’ongle
En conclusion, On surveillant régulièrement nos ongles on peut s’apercevoir des premiers signes des problèmes internes de notre corps . Mais attention seul un médecin peut infirmer ou confirmer un diagnostic et une maladie.

Peut-on rester intelligent toute sa vie?


Les gènes déterminent en partie notre longévité… Et qu’en est-il pour notre intelligence? La génétique aurait aussi sa part de responsabilité.


«Le temps ne fait rien à l’affaire», chantait George Brassens, s’adressant aux «petits cons de la dernière averse» et «aux vieux cons des neiges d’antan»… Les gènes seraient en partie responsables de cette situation, d’après une estimation réalisée par des chercheurs britanniques. L’équipe coordonnée par Ian Deary (Université d’Edimbourg) a voulu mesurer l’influence de la génétique sur l’évolution des capacités intellectuelles au cours de la vie. Ils estiment au final que nos gènes seraient responsables d’environ 25% des hauts et des bas de notre intelligence au cours de notre existence.

Ces résultats suggèrent que les mêmes facteurs génétiques qui influencent l’intelligence (telle qu’elle est mesurée par des tests) chez les enfants déterminent l’intelligence des personnes âgées. La part prise par la génétique, autour de 25%, laisse par ailleurs la plus grosse responsabilité aux facteurs environnementaux.
Cette étude s’appuie sur une cohorte de 2.000 personnes, qui ont fait partie d’une expérience assez unique menée en Ecosse : en juin 1932 et en juin 1947, des chercheurs ont fait passer des tests d’intelligence (Moray House Test) à presque tous les enfants nés en 1921 et 1936 (les enfants ont été testés à l’âge de 11 ans). Deary et ses collègues ont retrouvé 1.940 personnes qui avaient ainsi été testées enfant et ont de nouveau mesuré leurs capacités cognitives à un âge avancé. Les chercheurs ont aussi réalisé des prélèvements ADN et comparé 500.000 marqueurs génétiques (SNP, variation d’un seul nucléotide dans l’écriture des gènes).

Cette étude, publiée dans la revue Nature (19 janvier 2012) ne permet pas de déterminer précisément quels sont les gènes en cause mais de cerner leur part. Située autour de 25%, elle signifie que leur étude plus approfondie est valable pour mieux comprendre les facteurs influençant l’évolution des fonctions cognitives. Evolution très variable d’un individu à un autre. Toute la difficulté pour les scientifiques est d’y voir clair dans les interactions entre la génétique et l’environnement, avec pour but d’améliorer le vieillissement de nos capacités intellectuelles !

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