samedi 6 juillet 2013

Les encres de tatouages sont dangereuses pour la peau.


Les encres de tatouages sont dangereuses pour la peau.

Les encres de tatouages contiennent des métaux toxiques : aluminium, barium, cadmium, cobalt, chrome, cuivre, fer, mercure, manganèse, nickel, antimoine, strontium, vanadium. Les encres rouges contiennent de l’aluminium, du fer, du calcium, du titane, de la silicone et du mercure ainsi que du cadmium. Les encres noires contiennent des hydrocarbures aromatiques polyclyques dangereux (dérivés du pétrole comme le benzopyrène, le benzoanthrascene). La plupart de ces produits sont cancérigènes et lorsqu’ils sont situés dans le derme et soumis aux rayonnements UV entraînent une forte augmentation en radicaux libres.Les pigments qui composent ces encres, en particulier le rouge, peuvent être la cause de dermatoses variées, eczéma, lichen plan, lucite, sarcoïdose et pseudo-lymphome…Encre de tatouage


Les réactions allergiques

Ce sont les complications les plus fréquentes après un tatouage. Elles se caractérisent par des démangeaisons, des gonflements au niveau du tatouage et parfois des lésions plus ou moins importantes. Le traitement de ces allergies consiste en l’application de corticoïdes locaux mais dans certains cas, le retrait du tatouage est indispensable.


Les risques liés aux problèmes de peau préexistants

Certaines maladies dermatologiques chroniques peuvent se localiser sur des zones de traumatisme de la peau comme les tatouages. Il s’agit par exemple du psoriasis, du lichen plan, de la sarcoïdose ou encore du vitiligo. Il est recommandé aux personnes atteintes de ces maladies d’éviter de se faire tatouer. Tatouer à côté de la lésion ne permet en rien de prévenir une éventuelle poussée car ce sont des maladies de la peau dans sa globalité, même lorsqu’elle apparaît saine.Attention, les personnes ayant des grains de beauté « à risque » ou de nombreuses taches de rousseur ont grand intérêt à consulter un dermatologue avant de se faire tatouer, afin de s’assurer que leur peau ne présente aucun risque. Il faut savoir qu’il est plus difficile, une fois la peau tatouée, de dépister les problèmes de peau.

A savoir : les tatouages éphémères au henné ne sont pas non plus dénués de danger.

En effet, si le henné pur est une substance naturelle et sans danger, lorsqu’il est mélangé à des produits tels que le PPD (paraphenylènediamine), il peut avoir des conséquences dangereuses pour la santé.Le PPD est très souvent ajouté au henné naturel pour en renforcer la couleur et augmenter la longévité du tatouage. C’est un produit que l’on retrouve dans le caoutchouc, le vernis, le plastique, le cirage, …Ses effets néfastes pour la santé sont nombreux : eczéma à l’endroit du tatouage qui peut laisser une cicatrice indélébile, urticaire, œdème de Quincke pouvant nécessiter une hospitalisation, apparition de manifestations allergiques à d’autres produits (teintures capillaires, médicaments, colorants textiles…).La sensibilisation provoquée par le contact du PPD est définitive !Le conseil du SNDV avant de se faire tatouer au henné : demander la composition du produit, demander à voir le mélange, il doit être de couleur orangée et non noire…


Comment se débarrasser d’un tatouage ?

Les dermatologues utilisent le laser déclenché. L’onde de choc fait exploser l’encre du tatouage, c’est une action électromagnétique, puis les poussières d’encre sont éliminées naturellement par la peau. Le nombre, la durée et le prix des séances varient en fonction de la surface du tatouage.Attention, les résultats pour éliminer un tatouage sont très variables et le procédé peut être long et coûteux…Si pour un tatouage amateur réalisé à l’encre de chine, trois à cinq séances suffisent pour le faire disparaître, pour un tatouage professionnel réalisé par une machine avec de grandes quantités d’encre, on peut compter jusqu’à 15 séances !A savoir : certaines couleurs comme le vert, l’orange et le bleu font de la résistance malgré les progrès de la technologie. Les tatouages polychromes laissent des traces résiduelles, ce qu’on appelle les « tatouages fantômes ».Le prix de chaque séance varie en fonction de l’importance du tatouage et peux aller jusqu’à 200 euros. Il faut respecter un délai de six semaines voir plus entre chacune pour laisser le temps à la peau d’éliminer les poussières d’encre.


Se faire tatouer n’est donc pas une démarche anodine.

Le Syndicat National des Dermatologues conseille vivement de prendre en considération tous les risques avant la prise de décision.ATTENTION, les tatoueurs peuvent être équipés de lasers pour détatouer. Ils ne sont pas habilités à les utiliser ; seuls les médecins peuvent le faire.

Un couple peut-il vivre heureux sans sexualité ?

Introduction

C’est une situation qui se rencontre malheureusement plus souvent qu’on ne l’imagine. C’est bien normal, car les couples qui vivent cette absence de sexualité ou sa grande rareté se taisent.
Pourtant, la sexualité fait le couple : c’est elle qui distingue une relation amoureuse d’une relation amicale, même très proche. Une relation amicale se construit sur 3 connexions : spirituelle, émotionnelle et intellectuelle. Dès lors que la connexion sexuelle s’établit, on rentre dans une relation amoureuse.
Comment alors continuer à exister en tant que couple quand la sexualité fait défaut ?
 


Les causes possibles

La baisse du désir
Il existe plusieurs possibilités pour qu’une telle situation s’installe.
Une fois la passion apaisée et la relation installée dans la durée, il arrive que la sexualité ne soit pas vécue avec autant de fougue.
Elle peut parfois s’éteindre au fil du temps. [1]
→ Les partenaires n’ont peut-être pas été assez vigilants sur la nécessité de continuer à se séduire mutuellement.
L’insatisfaction
Il est fréquent de rencontrer des hommes et des femmes qui sont déçus par leur sexualité dans la relation. L’homme ou la femme — ou les deux — ne parviennent pas à s’entendre dans ce domaine.
Mais ils s’aiment et espèrent que les choses vont s’arranger, malgré l’insatisfaction, qui peut devenir de la frustration.
Ils ne peuvent pas imaginer se séparer « seulement » pour des raisons d’incompatibilité sexuelle : ils sacrifient ainsi leur vie sexuelle au nom de l’amour.
Certains couples vivent ainsi toute leur vie.
  • Soit ils « subliment » et restent persuadés qu’ils s’aiment et peuvent se passer de sexualité.
  • Soit ils ont des aventures extra conjugales (discrètes ou non) ou une liaison sur le long terme (secrète ou non).
Leur vie de couple n’en est pas vraiment une.
La colère
Il est fréquent, dans un couple, d’exprimer sa colère en « se » refusant, en faisant la « grève » de la sexualité. Ce type de refus est alors une punition, ou une vengeance. L’expression d’une colère que l’on n’ose pas exprimer directement.
Dans ce cas, il vaut mieux être plus explicite, car l’on prend ainsi le risque que l’autre aille se satisfaire ailleurs…
La physiologie
Il peut arriver qu’il existe de réels problèmes physiques : vaginisme, éjaculation précoce, douleurs… Ces difficultés peuvent disparaître : médecins, andrologues et gynécologues trouvent facilement des remèdes à ces maux qui ne sont souvent que passagers.
Il faut juste trouver le moment, les mots, simples et sans animosité, pour évoquer ce problème médical à son partenaire. Il/elle sera soulagé(e) que cela ne viennent pas de lui/elle, et touché(e) par votre confiance. Vous pourrez alors aborder ce problème ensemble.
Le psychisme
La plupart du temps, il s’agit davantage de difficulté d’ordre psycho-affectif.
Par exemple, « l’interdit » inconscient du plaisir est fréquent.
→ Une mère qui a seriné pendant des années à sa fille que « l’amour est sale », que « les hommes ne pensent qu’à ça », qu’elle a « subi » son mari toute sa vie, ne donne pas à sa fille la permission d’être épanouie sexuellement avec un homme.
→ Une autre mère a pu interdire inconsciemment à son fils d’aimer une autre femme : la culpabilité l’empêchera de vivre une sexualité libre.
La peur de la dépendance
De plus en plus de femmes considèrent que le fait de « se laisser aller » pendant l’acte sexuel les condamnerait à perdre leur indépendance si chèrement acquise.
C’est placer son indépendance là où elle n’a pas lieu d’être.
Car lorsque la sexualité est vécue librement, ce n’est pas de la faiblesse que de vivre pleinement son plaisir.
D’autant plus que le partenaire risque de se lasser…
L’incompatibilité
Malheureusement, il existe des couples sexuellement incompatibles.
Il n’y a aucun problème physiologique ou psycho-affectif mais la réalité est là : ils sont dans l’impossibilité de vivre une sexualité épanouissante. Leurs besoins et demandes sont trop éloignés et ils ne peuvent malheureusement se satisfaire mutuellement.
Ou au prix de l’un des deux.
La meilleure solution reste le dialogue afin de prendre les bonnes décisions, et d’essayer que les deux soient comblés.

Que faire ?

Sortir du silence
Dans toutes ces situations, l’urgence est de parler.
Les partenaires d’un couple sont censés être suffisamment en confiance pour parler librement et sans fausse pudeur. Même si cela ne correspond pas exactement aux idées romantiques sur l’amour, le couple est extrêmement concerné par sa sexualité et le silence ne peut faire qu’empirer la situation.
Pour vivre une sexualité épanouie, il est essentiel de se parler : dire ce que l’on aime, ce que l’on n’aime pas trop, ce que l’on refuse carrément.
Bien sûr, c’est avec l’expérience que les corps apprennent à se connaître, mais il est possible de les aider avec des paroles et des gestes.
Des amants attentionnés et attentifs auront à cœur de faire preuve de générosité pour que les relations sexuelles soient des moments heureux qui accentuent la complicité et installent l’intimité.
Éviter les comparaisons
Comparer la sexualité de son couple avec celle de ses ami(e)s n’est pas une bonne idée.
Encore moins s’il s’agit de ses ex ! D’autant plus que, sur ce plan, les comparaisons sont plutôt au détriment de celle vécue par ce couple.
Mais si c’est le contraire, si elles sont à l’avantage du (de la) partenaire, il ne faut surtout pas se gêner, ce serait dommage !
Éviter les critiques
Ce domaine est bien trop « sensible », surtout pour les hommes, d’autant plus quand elles peuvent concerner leur anatomie ou leurs performances.
Les confrontations sont, à l’inverse, tout à fait possibles. Elles permettent de prendre conscience à deux des difficultés. « Je vois bien que ça ne va pas bien pour toi », « je crois que nous pourrions faire mieux… »
Chercher ensemble des solutions
Dans un couple, chaque partenaire est responsable de la sexualité.
Lorsqu’un problème se présente, il est donc logique d’y réfléchir ensemble, en toute franchise. Il n’y a rien de pire que de s’entendre dire que l’on n’est « pas normal(e) » quand tout ne se passe pas bien sur ce plan.
Entretenir la séduction
Rien n’est définitivement acquis sous prétexte que l’on est en couple.
La séduction est un processus à maintenir tout le temps que dure la relation.
Réveiller et susciter le désir de l’autre est plutôt agréable.
Aux partenaires de se montrer créatifs, ils en profiteront tous les deux.
Et puis il ne faut surtout pas croire que la fougue des débuts peut s’installer dans la durée.
Certes elle peut exister, même si elle n’est pas constante. La sexualité connaît des hauts et des bas, ce n’est pas grave. A condition que les bas ne s’installent pas !
Mais quand le désir est définitivement absent, qu’il est éteint et qu’aucune solution n’est efficace, même si l’amour est encore là, la séparation paraît être la seule issue. 

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