dimanche 2 mars 2014

Parler à votre bébé comme à un adulte stimule son intellect.

Pour améliorer le développement d'un bébé, n'hésitez pas à lui parler comme à une grande personne, affirment des chercheurs de l'université de Florida Atlantic.
Rien ne sert de gazouiller. Engagez plutôt la conversation ! Parler aux bébés comme à des adultes, en  utilisant une syntaxe et un vocabulaire complexes, permet à leur cerveau de  mieux se développer et leur servira à mieux apprendre tout au long de leur vie,  affirment des chercheurs. Certes, lorsqu'un parent porte sa voix dans les aigus ou chantonne il attire l'attention de son bébé, mais pour qu'il apprenne, il est préférable de  lui parler comme à un adulte.

"Il ne s'agit pas seulement d'emmagasiner du vocabulaire, il faut aussi que  ce vocabulaire soit de qualité", a expliqué jeudi Erika Hoff, psychologue à  l'université Florida Atlantic, lors de la conférence annuelle de la Société  américaine pour le progrès de la science (AAAS), à Chicago. "La parole (des parents) doit être riche et complexe", a-t-elle ajouté.

Vocabulaire mieux élaboré : enfant meilleur en classe

Mieux encore: parler aux bébés revêt une importance telle que les enfants  issus de milieux où la parole est moins élaborée sont en général moins bons en  classe. Et ces différences sont aussi visibles dans les structures cérébrales des  enfants, selon Kimberly Noble, neurologue et pédiatre à l'université Columbia  de New York.

Le Dr. Noble et ses collègues ont ainsi comparé les cerveaux d'enfants  défavorisés et ceux d'enfants dont les parents ont fait des études supérieures  et ont un niveau de vie élevé. Ils ont trouvé des disparités entre les systèmes cognitifs qui dirigent la  sociabilité et la mémoire, mais les différences les plus flagrantes  concernaient la partie du cerveau qui conditionne le développement de la parole."

En vieillissant, les enfants issus de milieux favorisés consacrent une  plus grande partie de leur cerveau à ces régions", a souligné le Dr. Noble. Anne Fernald, psychologue à l'université Stanford, a exposé les résultats  d'une étude effectuée sur un groupe d'enfants hispanophones de milieux  défavorisés.  En enregistrant les conversations que les enfants entendent toute la  journée, Mme Fernald s'est rendu compte que les jeunes enfants ne bénéficiaient  que peu des conversations périphériques entre leurs parents. Le vrai  apprentissage, selon elle, provient de la parole qui leur est directement  adressée.

Comment éliminer la peur de réussir ?

La peur de réussir est une des plus grandes causes d’échec.
Face à l’inconnu de nombreuses personnes préfèrent se réfugier dans une zone dite de confort, parce qu’elle est connue même si cette situation est précaire plutôt que d’essayer de réussir et de devoir affronter l’inconnue.
Comment surmonter la peur de réussir

Un complexe d’infériorité

Nous avons toujours ressenti ce manque de confiance en nous quand nous devons entamer quelque chose d’important.
Un sentiment de stress qui nous serre le ventre où nous noue la gorge quand nous ne devons nous exprimer en public ou face à une personne socialement mieux placée.
Il nous arrive souvent de nous sentir envahi par nos rêves les plus fous mais que nous n’osons jamais réaliser simplement parce que nous n’osons prendre d’initiatives.

La peur du changement

Cette peur naît du simple fait que la réussite implique avant tout un changement radical dans notre vie.
Nos aspirations expriment bien souvent des manquements ou des défauts de notre quotidien que nous aimerions bien voir changé.
Seulement le changement reste une grande inconnue et un sentiment profond d’insécurité peut naître à l’idée d’un tel bouleversement de notre environnement.
  • Pourrons-nous assumer notre nouvelle condition sociale ?
  • N’y a-t-il pas un risque de tout perdre à la moindre erreur ?
  • Mon projet sera-t-il assez convaincant pour retenir l’attention de mes éventuels souteneurs ?
  • Ayant longtemps stagné dans cette situation précaire, l’on finit par s’y habituer et par y trouver une certaine sécurité. Ne suis-je pas mieux comme cela après tout ?
Ce sont autant de questions que nous nous posons et qui freinent considérablement toute velléité de réussite.

Une méthode qui a fait ses preuves.

Le moyen le plus efficace pour combattre sa peur est d’en prendre conscience.
Nous ne parviendrons jamais à nous débarrasser d’une chose dont nous ignorons l’existence, ceci étant assumé, sa peur permet d’appréhender les situations nouvelles avec plus de quiétude et nous ne risquerons pas de nous dérober de nouveau puisque, de ce fait, le pire est sans doute déjà passé.
Mais au bout du compte si nous sommes peu sûrs de notre initiative ne serait-ce pas parce que nous avons connaissance des nombreuses failles qu’elle rescelle ?
Notre projet ne tiendra pas la route devant un auditoire parce que nous n’avons rien fait pour pallier les nombreuses lacunes qu’elle comporte.
Aussi est-il important d’avoir une idée succincte de notre démarche et d’en repérer toutes les forces et les faiblesses, afin de pouvoir se montrer convaincant, non pas vis-à-vis d’éventuels faiseurs de rêves mais aussi et surtout vis-à-vis de nous de même qui avons toujours redouté cette belle initiative.
Une fois la peur passée, nous entrevoyons enfin la lueur qui nous conduira tout droit vers une éclatante réussite.
Supprimer ou éliminer la peur de réussir et vous augmenterez considérablement vos chances de réussite.

Quelles sont les étapes du changement de comportements ou d'habitudes?


Quelles sont les étapes pour effectuer un changement de comportement(s) ou d'habitude(s) tel qu'arrêter de fumer, diminuer ou arrêter la consommation d'alcool ou de drogues, changer des habitudes alimentaires pour maigrir ou mieux contrôler une maladie, devenir moins sédentaire, étudier davantage, équilibrer un budget, être moins stressé(e) ou autres?

Un modèle très couramment utilisé pour décrire ces étapes est celui des psychologues James Prochaska et Carlo DiClemente. Ce modèle inclut cinq étapes: la pré-contemplation (ou l'inaction), la contemplation (ou la prise de conscience), la préparation, l'action et le maintien.
L'inaction ou la pré-contemplation 

À l'étape de la pré-contemplation, la personne ne songe pas à faire de changement. Elle n'est pas encore très sensibilisée et ne comprend pas encore très bien pourquoi elle devrait faire le changement ou encore elle croit le changement trop difficile ou impossible.

À cette étape elle peut se croire trop dépendante de la nicotine ou croire que la perte de poids est trop difficile, par exemples.

Ses habitudes actuelles lui semblent encore plus avantageuses. À cette étape, l'information peut aider à se sensibiliser davantage et amener à concevoir que le changement pourrait être réalisable.



La prise de conscience ou la contemplation 

À l'étape de la contemplation, la personne pense à effectuer le changement dans un avenir plus ou moins rapproché. Elle a cependant tendance à voir surtout les inconvénients et les difficultés à court terme que les avantages à court et à long termes.

Pour passer à l'étape suivante, la balance doit basculer vers les avantages. La personne est cependant plus motivée et intéressée à s'informer qu'à l'étape précédente. Elle peut être aidée par l'information et les encouragements.

La préparation

À l'étape de la préparation la personne est convaincue du bien-fondé de faire le changement. Elle croit qu'il est temps d'agir. Elle commence à poser des gestes et fait des plans.

Par exemples, elle commence à limiter sa consommation de cigarettes, à mieux choisir son alimentation, à s'informer des activités accessibles, à limiter certaines dépenses, etc.. Elle a besoin d'envisager positivement sa démarche, d'apprendre à moins craindre l'échec et de considérer d'éventuelles rechutes comme des étapes dans un processus normal de changement.

L'aide apportée à cette étape peut être concrète (fournir des recettes santé, des informations sur les formes d'exercices accessibles, ...).

L'action

À l'étape de l'action la personne adopte les comportements et les attitudes souhaités et organise sa vie et son environnement de façon à faciliter ses changements. Cette étape requiert du temps et de l'énergie.

La personne n'arrive pas nécessairement à maintenir les changements de façon stable. Par exemples, elle ne fait pas autant d'exercices que prévu, elle ne réussit pas toujours à planifier des repas sains, à choisir des aliments moins caloriques et à apporter une collation au travail.

Elle est vulnérable et les risques de rechutes sont assez élevés. Elle doit apprendre de son expérience pour s'ajuster et persévérer dans les changements. Elle doit toujours élaborer des stratégies pour réussir à maintenir son objectif (ex. réviser ses priorités, se mettre dans de meilleures conditions, gérer le stress, réserver du temps, être assez reposée, ...).

Le maintien ou la consolidation

À l'étape du maintien, la personne a réussi à maintenir le changement pendant au moins six mois, la rechute à une étape antérieure devient beaucoup moins probable et d'une moins longue durée si cela arrive.

S'il lui arrive de fumer une cigarette par exemple, elle prend des mesures pour éviter que cela se reproduise. 

Des chercheurs identifient 5 types d'alcooliques


Une recherche épidémiologique américaine auprès de personnes présentant une dépendance à l'alcool (alcoolisme) révèle cinq sous-types de la maladie. Cette analyse devrait, selon les chercheurs, aider à dissiper le mythe que l'alcoolisme peut facilement être catégorisé et qu'un individu peut être classifié comme une "alcoolique typique".

Dr. Howard B. Moss et des collègues du National Institute on Alcohol Abuse and Alcoholism (NIAAA) américain ont effectué des analyses sur un échantillon national. Leur analyse s'est centrée sur 1.484 personnes rencontrant les critères de la dépendance à l'alcool.
Ils ont observé que les jeunes adultes constituent le sous-type le plus important et que près de 20% des alcooliques sont fonctionnels, bien éduqués et ont de bons revenus.

Par ailleurs, plus de la moitié des alcooliques des États-Unis n'ont pas d'histoire familiale multigénérationnelle d'alcoolisme, suggérant que leur forme d'alcoolisme n'a probablement pas de cause génétique.

Les chercheurs ont identifié les sous-types suivants:

Sous-type jeune adulte: 31.5% des alcooliques. Buveurs jeunes adultes, avec un taux relativement faible de toxicomanie (abus d'autres substances) et d'autres troubles mentaux ainsi qu'un faible taux d'alcoolisme familial. Ils cherchent rarement de l'aide pour leur problème d'alcool.

Sous-type jeune antisocial: 21% des alcooliques. Ils tendent à être au milieu de la vingtaine, ont commencé précocement à boire régulièrement et à avoir des problèmes avec l'alcool. Plus de la moitié proviennent de familles où il y a des problèmes d'alcoolisme et près de la moitié ont des diagnostics psychiatriques de trouble de la personnalité antisociale. Plusieurs sont en dépression majeure, ont un trouble bipolaire ou des problèmes d'anxiété. Plus de 75% fument la cigarette, et plusieurs ont aussi une addiction à la cocaïne ou à d'autres drogues. Plus du tiers de ce soustype recherchent de l'aide pour leur problème d'alcool.

Sous-type fonctionnel: 19.5% des alcooliques. Typiquement d'âge moyen, avec un emploi stable et une famille. Environ un tiers ont une histoire multigénérationnelle d'alcoolisme, environ un quart ont fait une dépression majeure au cours de leur vie et près de 50% sont des fumeurs.

Sous-type familial intermédiaire: 19.5% des alcooliques. D'âge moyen. La moitié proviennent de familles avec un alcoolisme multigénérationnel. Près de la moitié ont déjà fait une dépression et 20% ont un trouble bipolaire. La plupart fument la cigarette et près du cinquième ont des problèmes avec l'usage de la cocaïne et de la marijuana. Seulement 25% cherchent un traitement pour le problème d'alcool.

Sous-type chronique sévère: 9% des alcooliques. Principalement d'âge moyen qui ont eu des problèmes précoces avec la consommation d'alcool avec des taux élevés de trouble de la personnalité antisociale et de criminalité. Près de 80% viennent de familles avec des problèmes multigénérationnels d'alcoolisme. Ils présentent les plus haut taux de troubles psychiatriques incluant la dépression, le trouble bipolaire et les troubles anxieux ainsi que des taux élevés de dépendance à la cigarette, au cannabis, à la cocaïne et aux opiacés (héroïne). Deux tiers de ceux-ci cherchent de l'aide, ce qui en fait le type le plus prévalent dans la clientèle des traitements de l'alcoolisme.

Règle générale, l'alcoolisme est plus sévère lorsqu'il est accompagné de troubles psychiatriques et de toxicomanie.

Cette analyse devrait permettre de concevoir des traitements mieux adaptés et de mieux évaluer leur efficacité.

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