« La masturbation, c'est faire l'amour avec quelqu'un qu'on aime ». Signée Woody Allen, cette petite phrase résume assez bien cet acte pratiqué, selon une enquête de 1993 sur les comportements sexuels des Français, par plus de 80% des hommes contre 50% des femmes. Pourquoi nos chers et tendres vouent-ils un amour indéfectible à la branlette, même lorsqu'ils sont heureux et satisfaits en amour ? Faut-il s'inquiéter de le voir rester si longtemps sous sa douche tous les matins ? A-t-on raison d'être furieuse lorsqu'on le surprend en plein acte d'onanisme ? Se masturber, c'est un peu tromper, ou bien ?
La masturbation, c'est le premier acte sexuel d'un garçon
Et oui les filles, si de notre côté on n'est pas encore toujours super libérées de la branlette, les garçons, eux, semblent comprendre dès la naissance qu'il n'y a pas de mal à se faire du bien.
Il suffit de garder deux heures un petit garçon pour se rendre compte que se tripoter la nouille est aussi banal pour lui que de se curer le nez. Quand aux érections, à deux heures de vie, certains vous brandissent déjà sous le nez leur sabre laser.
Forcément, plus il grandit et plus le petit garçon comprend que ce cadeau que le ciel lui a fait – leur pénis – est non seulement un objet de fierté mais aussi et surtout, un objet de plaisir.
Quand la puberté s'en mêle, cela donne les fameuses cartes de France dans les draps le matin et de looooongues, très longues sessions de lecture hyper sérieuses aux toilettes.
Bien qu'agaçant pour leur môman, c'est pourtant signe de bonne santé et que l'enfant s'ouvre à la sexualité. Il découvre son corps et son fonctionnement et c'est grâce à cela qu'il aura, plus tard, des relations équilibrées et saines avec ses chéri(e)s.
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