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Souhaits
Que cette nouvelle année vous apporte la réussite dans tout ce que vous entreprenez,
Que les difficultés de cette année nouvelle vous soient toutes épargnées,
Que le bonheur soit au rendez-vous dans vos cœurs et dans ceux de vos proches,
En un mot, nous vous souhaitons une très BONNE ANNEE 2011
Je vous embrasse très fort,
vendredi 24 décembre 2010
Anatomie
Caractéristiques des tissus compacts et spongieux :
a) Tissu osseux compact :
Partie dure et résistante de l'os.
Coque externe des os.
Épaisse et solide.
C'est la partie vivante de l’os, qui contient du sang et est sensible à cause des nerfs.
Le tissu osseux comprend des ostéons ou canaux de Havers: unité histophysiologique constituée par un canalicule vasculaire et les lamelles concentriques qui l'entourent.
Les ostéons servent de galeries aux vaisseaux sanguins qui nourrissent l'os compact.
Les lamelles arciformes s'interposent entre les ostéons.
b) Tissu osseux spongieux :
Il est moins dense et plus léger que le tissu compact.
Il est également constitué de lamelles osseuses.
Mais contrairement au tissu compact, ses lamelles sont organisées en travées qui évoquent l'aspect d'une éponge.
Entre ces travées, se trouvent limitées des cavités ou aréoles, remplies par la moelle rouge, où se forment les globules du sang.
Cependant ces travées ne sont pas disposées au hasard ; elles répondent à une résistance maximale contre les pressions et les forces que l'os doit subir.
Le tissu spongieux prédomine aux épiphyses (extrémités des os longs).
III - Principales caractéristiques des os longs :
Ce sont les os dont une dimension (la longueur) l'emporte largement sur les deux autres.
Un os long comprend :
· Un corps ou diaphyse
· Deux extrémités ou épiphyses, où se trouve le tissu spongieux, siège de l'hématopoïèse
· Un canal médullaire : cavité creusée au centre de la diaphyse qui contient la moelle jaune.
Lorsque l'os se développe, diaphyse et épiphyses sont séparées par une lame cartilagineuse, responsable de sa croissance en longueur.
Quand l'os est mature, ce cartilage est envahi par l'ossification. Il se réduit à une ligne épiphysaire.
Les extrémités des os longs sont des surfaces articulaires recouvertes d'une mince couche de cartilage.
La diaphyse est tapissée d'une membrane fibreuse et adhérante : le périoste.
IV - Quatre principaux types d'os :
Os longs : fémur, humérus, tibia
Os courts : vertèbres, carpiens, tarsiens
Os plats : omoplates, os du crâne
Os irréguliers:
· Pneumatiques, contenant les sinus : ethmoïde, sphénoïde...
· Sésamoïdes, situés dans les tendons: rotule
· Wormiens: suturaux
V - Composantes du squelette axial et appendiculaire :
a) Le squelette axial :
Il est formé par le crâne, la colonne vertébrale et la cage thoracique.
Il est ainsi nommé car il forme l'axe de soutien du corps humain.
Il comporte 80 os.
b) Le squelette appendiculaire :
C'est le squelette des membres supérieurs et inférieurs, et leurs ceintures respectives.
· Ceinture scapulaire pour les membres supérieurs
· Ceinture pelvienne pour les membres inférieurs : os du bassin
Il comporte 126 os.
Au total, le squelette humain comporte 206 os mais ce nombre est variable d’un individu à l’autre.
Le squelette axial :
I - Os de la tête et leurs caractéristiques :
a) Les os du crâne :
Ils sont au nombre de 9 :
· l'os frontal
· le sphénoïde
· l'occipital (écaille de l'occipital)
· les 2 pariétaux
· les 2 écailles des temporaux
· les 2 rochers
b) Les os de la face :
Ils sont au nombre de 15 :
· les 2 maxillaires supérieurs
· les 2 malaires
· les 2 os propres du nez
· les 2 unguis ou os lacrymaux
· l'ethmoïde
· les 2 palatins
· les 2 cornets inférieurs
· le vomer
· le maxillaire inférieur ou mandibule
Les os du crâne sont des os plats et des os pneumatiques.
Ils ne sont pas articulés entre eux, sauf le maxillaire inférieur.
II - Principales sutures osseuses du crâne :
Coronale: entre frontal et pariétal
Lambdoïde: entre pariétal et occipital
Sagittale: entre les deux pariétaux
Écailleuse: entre temporal et pariétal
III - Les sinus :
Maxillaires
Ethmoïdaux
Sphénoïdaux
Frontaux
IV - Les os de la colonne vertébrale et leurs caractéristiques structurales :
* 7 vertèbres cervicales:
Les plus grêles.
Leur corps est petit.
Le canal rachidien est particulièrement large.
Les plus grêles.
Leur corps est petit.
Le canal rachidien est particulièrement large.
* 12 vertèbres dorsales:
Corps plus volumineux.
Présentent de chaque côté deux demi-facettes qui constituent des surfaces articulaires avec les côtes.
Corps plus volumineux.
Présentent de chaque côté deux demi-facettes qui constituent des surfaces articulaires avec les côtes.
* 5 vertèbres lombaires:
Corps vertébral plus volumineux et allongé transversalement.
Corps vertébral plus volumineux et allongé transversalement.
* 5 vertèbres sacrées:
Soudées pour former le sacrum.
Soudées pour former le sacrum.
* De 2 à 5 vertèbres coccygiennes:
Elles sont atrophiées et soudées elles forment le coccyx.
Elles sont atrophiées et soudées elles forment le coccyx.
V - Caractéristiques et courbures de chacune des régions de la colonne vertébrale :
* Courbure cervicale
Convexité antérieure
Convexité antérieure
* Courbure dorsale
Concavité antérieure ou cyphose
Concavité antérieure ou cyphose
* Courbure lombaire
Convexité antérieure ou lordose
Convexité antérieure ou lordose
* Courbure sacrée
Concavité antérieure
Concavité antérieure
VI - Os du thorax et leurs principales caractéristiques structurales :
a) Les côtes :
* 12 de chaque côté.
Ce sont des os plats et courbes.
* Vraies côtes
Celles qui sont reliées au sternum
7 premières paires
Celles qui sont reliées au sternum
7 premières paires
* Fausses côtes
Se terminent en avant par un cartilage commun
8, 9 et 10ème paire de côtes
Se terminent en avant par un cartilage commun
8, 9 et 10ème paire de côtes
* Côtes flottantes
Elles ne vont pas jusqu'au sternum
Elles sont terminées par des extrémités libres
Ce sont les 11 et 12ème paires
Elles ne vont pas jusqu'au sternum
Elles sont terminées par des extrémités libres
Ce sont les 11 et 12ème paires
b) Le sternum :
C'est un os plat.
Il est divisé en trois parties :
* Partie supérieure : le manubrium
* Partie moyenne : le corps du sternum
* Une extrémité inférieure effilée : l'appendice xiphoïde
La jonction du manubrium et du corps forment l'angle sternal.
L'échancrure au niveau du manubrium est la fourchette sternale.
De chaque côté de l’échancrure se trouvent les incisures claviculaires, s'articulant avec les clavicules.
Le manubrium s'articule avec les premières et deuxième paires de côtes.
Le corps s'articule avec la deuxième à la dixième paire de côtes.
L'appendice xiphoïde n'est rattaché à aucune paire de côtes. Il sert de point d'attache à certains muscles abdominaux.
c) Les vertèbres dorsales :
Elles sont au nombre de 12.
Le squelette appendiculaire :
C'est le squelette des membres supérieurs et inférieurs, et de leurs ceintures respectives.
I - La ceinture scapulaire :
Elle est constituée de chaque côté par 2 os : la clavicule et l'omoplate.
a) La clavicule :
Os long situé à la partie haute de la face antérieure du thorax.
Elle est incurvée en forme de "S" italique.
Elle s'articule en dedans avec le sternum et en dehors avec l'omoplate.
b) L'omoplate :
Os plat et triangulaire situé à la partie haute de la face postérieure du thorax.
Son angle externe représente la cavité glénoïde qui s’articule avec l'humérus.
Son bord supérieur présente une apophyse : l'apophyse coracoïde où s'insèrent les muscles de l'épaule.
Sa face postérieure présente aussi une grosse apophyse : l'épine de l'omoplate.
L'extrémité extérieure de l'épine de l’omoplate est aplatie et s’appelle l'acromion.
Celui-ci présente une partie plate qui s'articule avec la clavicule.
II - Les membres supérieurs :
60 os au total (30 par bras).
· L'humérus
· Le cubitus
· Le radius
· Le carpe, composé des os carpiens
· Le métacarpe, constitué des métacarpiens
· Les phalanges
a) L'humérus :
C'est l'os le plus long et plus gros.
Il s'articule à son extrémité proximale avec l'omoplate, au niveau de la cavité glénoïde.
À son extrémité distale, avec le radius et le cubitus.
* Il présente une extrémité supérieure formée de trois saillies :
· La tête humérale arrondie en deux sphères présentant une petite et une grosse tubérosité. C'est là que s'insèrent les muscles.
· La coulisse bicipitale, dans laquelle glisse le tendon du biceps.
* La diaphyse est le corps de l'humérus.
* Sa partie inférieure, ou distale, comprend :
· L'épicondyle : extrémité arrondie qui s'articule avec la tête du radius.
· La fosse radiale dans laquelle s’emboîte la tête du radius quand l'avant-bras est plié.
b) Le cubitus :
Il se situe du côté de l'auriculaire.
Il est plus long que le radius.
Il présente trois parties :
* Une extrémité proximale qui comprend :
· Une saillie : l'olécrane
· L'apophyse coronoïde qui reçoit l'humérus
* Une diaphyse
* Une extrémité distale qui comprend une tête séparée du poignet par un disque fibro-cartilagineux
c) Le radius :
C'est le prolongement du pouce.
Il comprend deux extrémités :
* Une extrémité proximale dotée d'une tête radiale en forme de disque qui s'articule avec le condyle de l'humérus.
* Une extrémité distale qui s'articule avec les os du poignet : scaphoïde et semi-lunaire
d) Les carpes :
Formés de huit os courts : les carpiens.
Ils sont unis par des ligaments et rangés en deux lignes transversales :
* Une ligne supérieure ou proximale
· Scaphoïde
· Semi-lunaire
· Pyramidal
· Pisiforme
* Une rangée inférieure ou distale
· Trapèze
· Trapézoïde
· Grand os
· Os crochu
d) Les métacarpes :
Composés de 5 métacarpiens constituant la paume de la main.
Ils comprennent tous une base, un corps et une tête.
La base s'articule avec la rangée distale des carpiens.
Les têtes s'articulent avec les phalanges proximales ; on les appelle les jointures.
e) Les phalanges :
Elles sont au nombre de 14 par main.
Elles comportent trois parties :
· Une tête
· Un corps
· Une base
Sauf une qui ne comporte qu'une base et une tête.
III - La ceinture pelvienne :
Formée de deux os iliaques, formant un soutien très puissant aux membres inférieurs.
Ces os sont unis en avant par la symphyse pubienne et en arrière par le sacrum.
L'os iliaque comporte trois éléments qui fusionnent à l'articulation coxo-fémorale, ou cavité cotyloïde.
Ces éléments sont :
* L'ilion
Partie la plus importante de l'os iliaque.
Le bord supérieur de l'os iliaque est appelé crête iliaque.
La face médiane de l'ilion contient la fosse iliaque.
Partie la plus importante de l'os iliaque.
Le bord supérieur de l'os iliaque est appelé crête iliaque.
La face médiane de l'ilion contient la fosse iliaque.
* L'ischion
C'est le segment postéro-inférieur de l'os iliaque.
Sa branche ascendante se joint au pubis.
Les deux parties ainsi jointes entourent le trou obturateur.
C'est le segment postéro-inférieur de l'os iliaque.
Sa branche ascendante se joint au pubis.
Les deux parties ainsi jointes entourent le trou obturateur.
* Le pubis
Segment antéro-inférieur de l'os iliaque.
La symphyse pubienne comprend une branche descendante horizontale et un corps.
Segment antéro-inférieur de l'os iliaque.
La symphyse pubienne comprend une branche descendante horizontale et un corps.
IV - Les membres inférieurs :
a) Le fémur :
* Extrémité supérieur proximale
Elle contient une surface articulaire répondant à la cavité cotyloïde de l'os iliaque.
Cette surface de forme sphérique est appelée tête fémorale.
Elle est supportée par une partie rétrécie nommée col du fémur.
À la base du col, il existe deux grosses apophyses où s'insèrent les muscles :
Elle contient une surface articulaire répondant à la cavité cotyloïde de l'os iliaque.
Cette surface de forme sphérique est appelée tête fémorale.
Elle est supportée par une partie rétrécie nommée col du fémur.
À la base du col, il existe deux grosses apophyses où s'insèrent les muscles :
· Le petit trochanter
· Le grand trochanter
* La diaphyse
Très solide
De forme triangulaire
Comporte de nombreuses saillies, du fait de l'importance des insertions musculaires à ce niveau.
Très solide
De forme triangulaire
Comporte de nombreuses saillies, du fait de l'importance des insertions musculaires à ce niveau.
* Extrémité inférieure ou distale
Trochlée
Deux condyles, interne et externe
Séparés par une profonde échancrure intercondylienne.
Trochlée
Deux condyles, interne et externe
Séparés par une profonde échancrure intercondylienne.
b) La rotule :
C'est un petit os aplati situé dans l'épaisseur même du tendon du quadriceps.
Elle est située en avant de la trochlée fémorale, avec laquelle elle s'articule.
c) Le tibia :
* L’extrémité supérieure proximale présente deux surfaces articulaires : les cavités glénoïdes interne et externe, qui s'articulent chacune avec le condyle fémoral correspondant.
Entre les deux, un petit massif osseux en saillie: l'épine tibiale sur laquelle s'insèrent les ligaments de l'articulation du genou.
Entre les deux, un petit massif osseux en saillie: l'épine tibiale sur laquelle s'insèrent les ligaments de l'articulation du genou.
* La diaphyse
De forme triangulaire : elle présente une crête tibiale facilement palpable sous la peau.
De forme triangulaire : elle présente une crête tibiale facilement palpable sous la peau.
* Partie inférieure ou distale
Elle présente sur sa face externe une surface lisse qui s’articule avec le péroné.
À sa face inférieure, elle comporte une articulation avec le tarse.
Elle se prolonge en dedans par une saillie osseuse : la malléole interne ou tibiale
Elle présente sur sa face externe une surface lisse qui s’articule avec le péroné.
À sa face inférieure, elle comporte une articulation avec le tarse.
Elle se prolonge en dedans par une saillie osseuse : la malléole interne ou tibiale
d) Le péroné :
* Sa partie supérieure présente un renflement : la tête du péroné, qui s'articule avec le tibia.
Elle est supportée par une portion rétrécie : le col du péroné.
Elle est supportée par une portion rétrécie : le col du péroné.
* La diaphyse du péroné présente plusieurs crêtes saillantes marquées par des insertions musculaires.
* L'extrémité distale du péroné s'articule avec le tibia et forme également une malléole : la malléole externe ou péronière.
Le tibia et le péroné sont reliés par deux articulations, supérieure et inférieure, et par une membrane fibreuse qui les réunit l'un à l'autre sur toute la hauteur de leur diaphyse : la membrane interosseuse.
e) Le pied :
Il comporte 26 os.
* Le tarse
Il comporte 7 os.
Deux os situés en arrière qui forment le tarse postérieur :
Il comporte 7 os.
Deux os situés en arrière qui forment le tarse postérieur :
· Le calcanéum
· L'astragale
Les 5 autres forment le tarse antérieur :
· Le scaphoïde
· Le cuboïde
· Trois os cunéiformes
* Le métatarse
Formé de 5 métatarsiens.
Le premier et le plus volumineux, qui appartient au gros orteil, est dépourvu de toute mobilité.
Formé de 5 métatarsiens.
Le premier et le plus volumineux, qui appartient au gros orteil, est dépourvu de toute mobilité.
* Les phalanges
Elles forment le squelette des orteils.
Il y a deux phalanges pour le gros orteil.
Trois phalanges pour chacun des autres orteils.
Elles forment le squelette des orteils.
Il y a deux phalanges pour le gros orteil.
Trois phalanges pour chacun des autres orteils.
L'architecture du pied est très complexe et solide, car elle est faite pour supporter le poids de tout le corps.
Les articulations :
I - Composition :
Une articulation est la jointure et l'union entre les différentes pièces du squelette.
Les principales sont:
* L'épaule :
· Clavicule
· Omoplate (acromion, cavité glénoïde et apophyse coracoïde)
· Tête de l'humérus
* Le coude :
· La trochlée
· Le condyle
· L'épitrochlée
· L'épicondyle
· L'olécrane
· L'apophyse coronoïde
* Le poignet
· L'apophyse styloïde du radius
· L'apophyse styloïde du cubitus
· Scaphoïde
· Semi-lunaire
· Pisiforme
· Pyramidal
* La hanche : jointure entre l'os iliaque et le fémur
· Tête fémorale
· Cavité cotyloïde
* Le genou
· La rotule
· La trochlée
· Le condyle fémoral
· L'échancrure intercondylienne
· Épine tibiale
· Cavité glénoïde du tibia
* La cheville
· Malléole externe
· Malléole interne
· Astragale (tarse postérieur)
· Calcanéum (tarse postérieur)
II - Les différentes structures de l'articulation :
a) Les structures de protection :
* La capsule synoviale
· Une membrane fibreuse
· Une membrane synoviale
b) Structure d’amortissement des pressions :
* Les cartilages.
* La poche synoviale.
c) Structures d'adaptation des surfaces articulaires :
Constituées de fibro-cartilage
· Ménisques
· Bourrelets articulaires ou labrum
· Disques au niveau des vertèbres
d) Structures de maintien :
· Membrane fibreuse
· Différents ligaments
· Tendons musculaires
e) Structures de glissement :
· Les cartilages articulaires
· La synovie
· Les structures d'adaptation vues plus haut
Toutes ces structures, avec les muscles et le système nerveux, déterminent l'amplitude du mouvement de l'articulation.
III - Les différents types de mouvement :
a) Mouvements simples :
* Flexion
* Extension
* Adduction
* Abduction
* Rotation externe
* Rotation interne
b) Mouvements complexes :
* Pronation
* Supination
* Circumduction
IV - Mouvements de chaque articulation :
a) L'épaule :
· Adduction
· Abduction
· Circumduction
Diarthrose (à la fois simple et complexe)
b) Le coude :
· Rotation externe
· Rotation interne
Amphiarthrose : articulation semi-mobile
c) Le poignet :
· Flexion
· Extension
· Rotation interne
· Rotation externe
Mouvements simples
d) La hanche :
Mouvements simples
· Flexion
· Extension
Articulation semi-mobile : amphiarthrose.
e) Le genou :
· Flexion externe
Mouvement simple : amphiarthrose
f) La cheville :
· Flexion
· Extension
· Rotation interne
· Rotation externe
Mouvements simples : amphiarthrose
Les seules articulations fixes sont celles des os du crâne.
V - Les muscles :
a) Le trapèze :
Élévateur du moignon de l'épaule
Élévateur du tronc
Extenseur de la tête
b) Le deltoïde :
Abducteur du bras
Sa saillie donne à l'épaule sa forme arrondie
c) Grand pectoral :
Adducteur de l'humérus
d) Grand dorsal :
Adducteur rotateur interne du bras quand il prend son point fixe sur le tronc.
Élévateur du tronc quand il prend son point fixe sur l'humérus.
e) Abdominaux :
Cinq musclesprincipaux:
· Grand droit
· Pyramidal
· Grand oblique
· Petit oblique
· Transverse
Protection des viscères abdominaux.
Action lors de la défécation, de la miction et de l'expiration forcée.
Fléchisseurs du thorax.
f) Quadriceps :
Muscles de la cuisse formé de 4 chefs
· Droit antérieur
· Droit interne
· Vaste externe
· Vaste interne
Extension de l'articulation du genou.
Flexion de l’articulation de la hanche.
g) Ischio-jambiers :
Extenseur de la cuisse sur le bassin.
Fléchisseur de la jambe sur la cuisse.
h) Biceps brachial :
Fléchisseur de l'avant-bras sur le bras.
i) Triceps brachial :
Extenseur de l'avant-bras sur le bras.
VI - Définitions :
* Les ostéoblastes:
Ce sont les cellules jeunes qui assurent la formation de la trame osseuse.
Ce sont les cellules jeunes qui assurent la formation de la trame osseuse.
* Les ostéoclastes
Grandes cellules de la moelle osseuse.
Elles ont un rôle de destruction de la substance osseuse
Grandes cellules de la moelle osseuse.
Elles ont un rôle de destruction de la substance osseuse
Oeuvres de Jacques Roumain
Romans[modifier]
- Les Fantoches, Port-au-Prince : Imprimerie de l'État, 1931
- La Montagne ensorcelée, Port-au-Prince : Imprimerie E. Chassaing, 1931 ; Montréal : Mémoire d'encrier, 2004
- Gouverneurs de la rosée, Port-au-Prince : Imprimerie de l'État, 1944 ; Montréal : Mémoire d'encrier, 2004
Poésie[modifier]
- 1927 – juillet. «Midi», La Trouée, p.22 (Anth. p.32.)
- 1927 – juillet. «Pluie», La Trouée, p.22 (Anth. p.31.)
- 1927 – juillet. «Cent mètres», La Revue indigène (Anth. p.33-34.)
- 1927 – août. «La Danse du poète-clown», La Revue indigène, p.62.
- 1927 – août. «Noir», La Revue indigène, p.62. (ms.: Wiener Walzer).
- 1927 – août. «Nungesser et Coli», La Trouée, p.49.
- 1927 – septembre. «Le Buvard: Insomnie», La Revue indigène, p.111.
- 1927 – septembre. «Le Buvard: Le Chant de l'homme», La Revue indigène, p.113.
- 1927 – septembre. «Le Buvard: Calme», La Revue indigène, p.114.
- 1927 – septembre. «Le Buvard: Orage», La Revue indigène, p.112. (Anth. p.35.)
- 1927 – septembre. «Corrida» (signé Madrid, mai 1926), La Revue indigène, p.115-116.
- 1927 – septembre. «Après-midi», La Trouée.
- 1927 – octobre. «Miragôane», La Trouée.
- 1928 – janvier «À jouer aux billes», La Revue indigène, p.208.
- 1928 – mars «Échappée», La Trouée.
- 1928 – «Surgi d'une natte de paille peinte» (Anth. p.40.) (ms. Paysage irréel)
- 1928 – «Absence» (Anth. p.38.)
- 1928 – «Angoisse» (Anth. p.36.)
- 1928 – «Attente» (Anth. p.37.) (ms. Soir)
- 1928 – «Mirage» (Anth. p.39.)
- 1928 – «Appel»; poème par...; suivi de «La Chanson des Lambis», par Émile Roumer, Port-au-Prince, Impr. V. Pierre-Noël.
- 1929 – 7 septembre. «Horizon ... soleil», La Presse.
- 1929 – 14 septembre. «Je rêve que je rêve», La Presse.
- 1929 – 14 septembre. «L'Aube», La Presse.
- 1931 – 4 juillet. «Quand bat le Tam-Tam», Haïti-Journal.
- 1931 – 11 juillet. «Une composition inédite de Ludovic Lamothe – poème de Jacques Roumain», Haïti-Journal
- 1931 – 20 octobre. «Langston Hugues», Haïti-Journal.
- 1931 – 30 décembre. «Guinée», Haïti-Journal.
- 1937 – avril. «Madrid», Commune (Paris), n° 44, 4e année, p.926-927.
- 1945 – Bois d'ébène, Port-au-Prince: Impr. Henri Deschamps. Rééditions Éditions Mémoire d'encrier, Collection : Poésie, Montréal : 2003
- «Bois d'ébène»
- «Nouveau Sermon nègre»
- «Sales nègres»
- «L'amour la mort»
- 1978 – 24 septembre. «Un poème inédit de Jacques Roumain: ‘Chanson pour un enfant qui n'avait jamais eu de jouets», Le Nouveau Monde. (signé Bruxelles, 6 décembre 1936).
- 1980 – "Violettes fanées", in Carolyn Fowler, "A Knot in the Thread", Washington, D.C., Howard University Press, p.4. [Composé probablement en 1926].
- Poèmes inédits:
- Poèmes de l'époque indigéniste
- «Finale»
- «Pieuse petite Chanson»
- «S'échapper»
- Poèmes de prison:
- «L'Arbre et l'oiseau»
- «Chanson du prisonnier pour son petit garçon»
- «La Goélette»
- «In black and white»
- «M'allé la riviè»
Essais[modifier]
- À propos de la campagne antisuperstitieuse, Port-au-Prince : Imprimerie de l'État, 1942
Autres[modifier]
En 2003 est parue une édition complète des œuvres de Jacques Roumain sous la direction de Léon-François Hoffmann :- ROUMAIN, Jacques, Œuvres complètes, Edition critique, Collection Archivos, Espagne : 2003, 1750 p.
Liens externes[modifier]
- Jacques Roumain, présentation de l'auteur, biographie et bibliographie complètes préparées par Léon-François Hoffmann (« île en île »).
- Biographie de Jacques Roumain
- Hommage à Jacques Roumain
Notes et références[modifier]
Jacques Roumain
Biographie[modifier]
Roumain est né le 4 juin 1907, à Port-au-Prince, dans une famille aisée. Son grand-père, Tancrède Auguste, fut président d'Haïti de 1912 à 1913. Il fréquenta des écoles catholiques à Port-au-Prince et, plus tard, étudia en Belgique, en Suisse, en France et en Allemagne. À vingt ans, il revint en Haïti et fut co-créateur de "La Revue Indigène" avec Émile Roumer Philippe Thoby-Marcelin, Carl Brouard et Antonio Vieux, dans laquelle ils publièrent des poèmes et des nouvelles.Il fut très actif dans la lutte contre l'occupation américaine d'Haïti (1915-1934). il est le fondateur du mouvement ouvrier et communiste haïtien.
En 1934, il fonda le Parti communiste haïtien. En raison de ses activités politiques, de sa participation au mouvement de résistance contre la présence américaine, et, surtout, de la création de sa part du Parti communiste haitien, il fut souvent arrêté et finalement contraint à l'exil par le président de l'époque Sténio Vincent.
Pendant ses années d'exil, Roumain travailla et se lia d'amitié avec de nombreux écrivains et poètes de son époque, comme Langston Hughes. Il fréquenta également l'université Columbia à New York. Après le changement de gouvernement en Haitï, il fut autorisé à revenir dans son pays natal. Une fois revenu il fonda le Bureau National d'Ethnologie.
En 1942, le Président Elie Lescot l'investit d'une charge de diplomate à Mexico. Il compléta à la même époque deux de ses livres les plus influents : le recueil de poésie Bois D'Ebène et le roman Gouverneurs de la Rosée, qui se vendit pourtant à moins d'un millier de copies la première année suivant sa publication.
La majorité du travail de Roumain exprime la frustration et la rage d'un peuple qui a été piétiné durant des siècles. Il incluait tous les Haitiens dans ses écrits, et appelait les pauvres à s'unir contre la misère.
Mort et Héritage[modifier]
Le 18 août 1944, soit trois jours après son retour d'une rencontre avec des camarades cubains et haïtiens à Cuba, Jacques Roumain, l'un des écrivains les plus respectés d'Haïti, mourut d'une crise inconnue, (empoisonnement ou maladie)[1], à l'âge de 37 ans sur sa terre natale.Son œuvre continue d'influencer la culture haïtienne et panafricaine en général.
Phobie(Lettre A)
- Ablutophobie - Peur de se baigner. Cette phobie est plus une peur de la noyade qu'une peur de l'eau.
- Acarophobie - Peur des parasites de la peau, des acariens.
- Achluophobie - Peur de l'obscurité.
- Acrophobie - Peur des hauteurs ; s'accompagne souvent de vertiges.
- Aérodromphobie - Peur de l'avion, des voyages en avion.
- Aérophobie - Peur de l'air et du vent.
- Agoraphobie - Peur des espaces libres et/ou des lieux publics.
- Aichmophobie ou Achmophobie - Peur des aiguilles et des objets pointus (ciseaux, couteaux, seringue par exemple).
- Ailurophobie - Peur des chats.
- Akousticophobie - Peur des sons.
- Algophobie - Peur de la douleur.
- Anthelmophobie - Peur des vers (dite aussi vermiphobie).
- Anuptaphobie - Peur de rester célibataire.
- Apiphobie - Peur des abeilles. Par extension, peur des insectes possédant un dard ou pouvant piquer.
- Apopathodiaphulatophobie - Peur d'être constipé ou de la constipation en elle-même.
- Arachnophobie - Peur des araignées.
- Arénaphobie - Peur du sable.
- Astraphobie - Peur des éclairs.
- Asthénophobie - Peur de la faiblesse.
- Aquaphobie - Peur de l'eau.
- Autocheirothanatophobie - Peur du suicide.
- Automysophobie - Peur d'être sale, de sentir mauvais.
- Autophobie - Peur de soi-même, de la solitude.
- Aviophobie - Peur de prendre l'avion.
dimanche 19 décembre 2010
Les portes du coeur
Les portes du cœur
Le cœur est doté de chaque côté d'une oreillette et d'un ventricule formant le cœur droit et le cœur gauche. Les oreillettes sont séparées entre elles et avec le ventricule qui leur est accolé par une valve. Il existe ainsi quatre principales « portes », qui forcent le sang à circuler dans le bon sens et l'empêchent de refluer.
>> En savoir plus sur les valves cardiaques
L'oxygenation du sang
L'oxygénation du sang
À chaque battement, le cœur active deux circuits fermés : la circulation systémique et la circulation pulmonaire. La première correspond au côté gauche du cœur, qui reçoit le sang riche en oxygène sortant des poumons et est injecté dans l'aorte pour irriguer tout l'organisme. La seconde fonctionne avec la partie droite du cœur, qui recueille le sang désoxygéné et chargé de C02 de la circulation systémique pour le recycler dans les poumons.
>> En savoir plus sur la circulation pulmonaire
Coeur
Les voies du sang
La circulation sanguine s'effectue grâce aux contractions du cœur, également appelées systoles. À chaque systole, le cœur diminue de volume et le sang est éjecté vers le reste de l'organisme. Immédiatement après la systole survient la diastole, c’est-à-dire la décontraction du muscle cardiaque. À ce moment-là, le cœur se remplit de sang et augmente de volume. C’est cette alternance de systoles et de diastoles s'effectuant sur un rythme régulier qui permet le transport du sang.
>> En savoir plus sur le cœur
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